Commentaire "Ce n’est pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la conscience"
Commentaire de texte : Commentaire "Ce n’est pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la conscience". Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Louna Svoboda • 10 Avril 2019 • Commentaire de texte • 1 036 Mots (5 Pages) • 1 889 Vues
Dans cette extrait de l’essai La philosophie Allemande, Marx définit la conscience comme liée à l’expérience de la vie. Il montre en quoi la thèse de la vie déterminée par la conscience est contreversée. Le texte se divise en 4 parties. La première partie (ligne 1 et 2) l’auteur annonce sa thése puis explicite avec des exemples dans une seconde partie (lignes 2 à 9). Enfin la troisième et dernière partie (ligne 9 à 15) est consacré à la conclusion et à la position qu’adopte Marx.
Dans la première phrase du texte, Marx commence par situer sa thèse en tant qu’anthithése de « la philosophie Allemande ». Marx nous en fait part sous forme métaphorique avec l’image du ciel et de la terre. Traditionnellement, le ciel est associé à la conscience et aux pensées (élément volatile) tandis que la terre est le symbole du réel et du concret (d’où l’expression terre-à-terre) Ainsi, la phrase peut se comprendre comme suit : Contrairement aux philosophes Allemands qui considère que la vie terrestre est déterminée par notre conscience, il faut plutôt considérer que c’est notre conscience qui est déterminée par notre environnement de vie. Une telle affirmation soulève la problématique de savoir si l’Homme peut rester libre en sachant que son esprit est modifié par son vécu au travers de la société, de la famille ou bien de son cadre de vie. De ce fait, la vie est comme un facteur de la conscience, n’est-ce pas priver l’Homme de son libre–arbitre auquel l’être ne peut rien ? N’est-ce pas une explication commode pour expliquer les comportements humains ? Après avoir expliquer le sens implicite de cette première méthaphore, il est important de se pencher sur les exemples que Mark utilise pour expliciter sa thèse.
Dans la suite de l’extrait Marx utilise le même schéma argumentatif à savoir, l’opposition entre sa thèse et l’antithèse Allemande. Pour cela, il utilise une forme un chiasme, c’est-à-dire que la phase se retrouve sythématiquement en sens.ici la première partie de la phrase met en œuvre le champ lexical de l’esprit « la pensée » « se represente » pour au concret ( thése Allemande) tandis que la seconde partie de la prhase part du concret « activité » réelle processus de vie réelle pour arriver à l’esprit « reflets et échos idéologique ». L’articulation entres ces de deux fractions de phrases se faits grâce au point virgule. Cette symétrie de construction rapproche la deuxième phrase de la première. Ainsi , il nous est possible de confirmer l’intuition symbolique du ciel et de la terre . l’expression « reflets et échos idéologique » fait référence à une réalité propre à chacun qui découle de notre expérience et de notre rapport au réel.
Dans la phrase suivante Marx vient surrenchérir quant au caractère psychique lié à la vie humaine . c’est ainsi que Mar explique le phénomène de la sublimation « sublimation résultant necessairement du processus de leur vie réelle. C’est pourquoi ce que l’on considère comme pure imagination de notre « cerveau » autrement désigné « fantatasmagorique de notre cerveau» ce qui correspond dans notre cas à des pensées ne le sont plus tant qu’elle résulte d’un mécanisme psychique que Freud définit comme une psychologique qui permet à l’homme de continuer à imagigner, à crée ou tout simplement à penser en fonction des éléments matériels de notre environnement. MARX nomme ceux-ci « bases matérielles ». Ces constatations permettentà MARX de conclure sur le rapport matériel/immatériel dans nos sociétés.
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