Comment "Flygskam" affecte-t-il le trafic aérien mondial?

Les changements climatiques et le réchauffement climatique sont devenus l'un des sujets les plus importants de notre société depuis quelques années. De nombreux scientifiques et représentants du peuple, même s'ils ne sont pas compliqués, s'interrogent sur la question de la lutte contre le changement climatique. Les Suédois apportent maintenant une contribution importante à la lutte contre le changement climatique avec une tendance innovante, le "Flygskam".

"Flygskam", en allemand "Flugscham", a compris que beaucoup de Suédois ont honte de monter dans l'avion. Nombreux sont ceux qui conduisent actuellement sur un itinéraire court, long et d'ailleurs international.

Comment "Flygskam" affecte-t-il le trafic aérien mondial?

Grâce à la tendance "Flygskam", la compagnie de chemin de fer suédoise SJ a pu enregistrer une forte augmentation du nombre de passagers ferroviaires, de sorte que le lien entre le sud de la Suède et la Laponie a été utilisé à 60% de plus ces dernières années.

Néanmoins, cette augmentation du nombre de passagers ferroviaires a un impact négatif sur la compagnie aérienne suédoise, mais néanmoins sur le trafic aérien international: de nombreux voyageurs assidus, représentants de personnes ou scientifiques décident de ne pas prendre l'avion. Si la tendance, qui comptait 30 000 participants dans un groupe Facebook en très peu de temps, se poursuivait, le secteur de l'aviation devrait envisager une baisse très importante de la vente de billets.

En dehors des compagnies aériennes, cette tendance n’a que des effets positifs: l’environnement est moins encombré.

Ce changement de notoriété en Suède ne peut être évalué que positivement, car moins il y a de passagers, moins l'industrie aéronautique produit de CO2. Après tout, 2% des émissions mondiales de CO2 sont produites par les compagnies aériennes mondiales. Par conséquent, toute réduction de ces émissions serait bénéfique.

Les médias sociaux avec des hashtags tels que "Flygskam", "flyingless" et "jagstanarpamarken" ("Je reste sur le terrain"), indique comment lutter contre le changement climatique, est un bon exemple de l'application activiste des médias sociaux.

À l'instar des Suédois, qui produisent 3,3 tonnes de CO2 par an de moins que l'Autriche, il est actuellement temps pour l'Autriche et tous les autres pays développés de suivre cette tendance. "#Flygskam" ne doit pas rester seul un phénomène suédois.

Avant de partir en mars, les vendredis pour l'avenir, dans le cadre de la planification de nos prochaines vacances, nous voudrons peut-être nous rappeler de rester vigilants, du moins en Europe.

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