Peut-on considérer le transhumanisme comme la clé du bonheur ?
Étude de cas : Peut-on considérer le transhumanisme comme la clé du bonheur ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nassim Martin • 7 Décembre 2020 • Étude de cas • 1 161 Mots (5 Pages) • 493 Vues
Peut-on considérer le transhumanisme comme la clé du bonheur ?
Depuis des années, l'homme guérit, soigne par différents moyens, mais il cherche de plus en plus à repousser ses limites intellectuelles et physiques dans le but de repousser la mort, de devenir immortel.
L’égalité d’accès à toutes ces découvertes est très vague encore, mais cela risque de changer d’ici peu de temps.
De gros risques sont en vue, surtout l’irréversibilité de ces modifications physique, mentale ou encore génétique.
L’immortalité recherchée suite à ces nouvelles technologies et ces façons d’agir reste encore qu’un espoir, mais la perte du sens de la vie.
I/ La modification de l'humain un chemin vers le bonheur
- Augmentation des capacités physiques et mentales
Être un humain de demain, c’est devenir quelqu’un de nouveau, des modifications physique et mentale sont apporté à l’Homme pour leur permettre d’acquérir des capacités « supérieures. »
Ces augmentations des capacités humaines pourraient permettre de guérir des maladies, soulager des souffrances, corriger un handicap ou réparer des déficiences (physique ou mental) cela pourrait entraîner de nouvelles qualités inédites au genre humain.
Des interfaces cerveau-machines, des organes artificiels, changement des molécules pour accroître une durée de vie plus longue, une amélioration cognitive ou même des bébés génétiquement modifiés.
L’addictions aux smartphones peut faire partie de ces nouvelles technologies avec une prothèse universelle permanente intégrer, mais aussi la gestation de machine et mécanisme intégrer au corps. Des mécanismes dérisoire son en vue comme l’implantation de puce sous la peau pour permettre d’ouvrir la porte de son domicile ou autre.
L’ajout de propriété / caractéristique à notre organisme est en cours de recherche pour ces « post-humains ». Ces « humains augmentés » pourrait être acquéreurs de nano-robots intracorporelle qui permettrai de mesurer et corriger divers paramètres physiques. Des casques qui stimulerait le cerveau pour augmenter les performances intellectuelles et la mémoire.
Vers un pied d'égalité
Des technologies trop surfaites pour certains et pour d’autre un avancé vers une nouvelle ère. Beaucoup de chercheurs sont en désaccord, certains sont pour ces nouvelles découvertes et d’autre ne sont pas partisans de ces nouvelles pratiques qui parfois pour certains se désigne par de la « folie ». L’accès à tous ces nouveaux projets ne sera pas identique pour tous les laboratoires de recherche pour une raison de moyen, comme pour les États-uniens qui sont en partie financer par le GAFAM (Google Amazon Facebook Apple Microsoft). Un coût qui lui se révèle plutôt élever pour un utilisateur de ces produits quand on sait qu’une greffe de cœur ou une cryogénisation du corps coûte environ 200 000 EUROS, une somme non-accessible à tous, mais aussi pas pris en charge en partie par les systèmes de sécurité sociale, c’est à se demander si l’accroissement des inégalités ne serait pas au bout de ce « progrès »
c) Une immortalité heureuse
L’augmentation de cette nanotechnologie pourrait changer la vie de tous, et permettrait de s’adapter à tous les environnements. Ces professeurs, qui sont eux pour le développement de cette nouvelle ère, ont une envie de grandeur, une envie de réelle modification. Ils parlent de « surhomme » ou même « d’humain modifié » jusqu’à même parlé d’immortalité. Cette immortalité le professeur Coeurnelle lui parle « d’une vie plus longue en bonne santé » ce qui d’après lui augmenterai le taux de bonheur dans la vie des plus anciens.
Une immortalité vue comme un bienfait pour les génomes humains, un nouveau départ sur la grandeur du temps, ne plus mourir de maladie causée par la vieillesse.
Souvent, les idées reçus face à cette découverte qu’ils espèrent, on entend parler de surpopulation de la planète cependant, ils ont une solution qui existe déjà dans les pays à forte population comme la Chine, Singapour ou la vieille Europe, une technique de modération pour ne pas dépasser un seuil de citoyen trop élève soit une réduction du nombre de naissances par famille.
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