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XIXème siècle, l’Allemagne s’industrialise

Mémoire : XIXème siècle, l’Allemagne s’industrialise. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  15 Octobre 2020  •  Mémoire  •  1 747 Mots (7 Pages)  •  552 Vues

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Université Jule Verne

DAEU A

Devoir Histoire n°2

Observation :

Sujet 2b : XIXème siècle, l’Allemagne s’industrialise

Des la fin de XIXème siècle, l’Allemagne s’industrialise et les ouvrier deviennent de plus en plus nombreux. Rapidement, un mouvement ouvrier se structure autour des idées de lutte des classe et de révolution mais il est durablement partagé entre deux stratégie l’action révolutionnaire ou la participation démocratique a la vie politique allemande. La première guerre mondiale renforce cette opposition et aboutit a la scission du mouvement.

   L’opposition du SPD au communiste depuis 1918 facilite la montée du nazisme et culmine particulièrement lors de la division de l’Allemagne entre 1945 et sa réunification en 1990. En RFA le SPD s’éloigne définitivement du marxisme et devient un parti ouvert a toutes les catégorie sociales.

   Après avoir étudier dans une première partie l’évolution du SPD  entre vois réformiste et voie révolutionnaire nous montrerons dans une deuxième partie la participation a la république de Weimar d’un parti sociale démocrate devenu entièrement réformiste puis une dernière partie son encrage définitif dans une économie sociale de marché.

   Le développement économique industrielle en Europe pose la question du sort des ouvrier. L’industrialisation de l’Europe engendre la naissance et la croissance d’un nouveau groupe social les ouvrier d’usine. Cette classe ouvrière cherche a se regrouper dans un parti afin de fonder une société plus égalitaire.

   En Allemagne le socialisme nait aussi de l’aspiration des ouvriers a changer leurs conditions de travail cette doctrine se fonde sur une critique du capitalisme et sur la défense du prolétariat les courants socialiste en Allemagne comme dans le reste de l’Europe se divisent en deux grande sensibilités les partisans de la voie des réformés et ceux qui soutiennent la voie révolutionnaire.

   Le partie social-démocratique d’Allemagne SPD nait officiellement au congrès de Ghotha en 1875 il est le fruit de l’union de différents courants du socialisme allemand et propose un programme révolutionnaire et marxiste le chancelier Bismarck combat l’influence du SPD auprès des ouvriers allemand qui composent plus du tiers de la population active de l’Empire le parti est interdit entre les années 1878 et 1890.

   De nouveau autorisé en 1890 le SPD sur la voie du réformisme et fait le choix d’une évolution démocratique vers le socialisme lord d’un congrès d’Erfurt en 1891 sous l’influence d’Edouad Brnstein Le SPD participe a toutes les élection et progressivement il devient l’un des partis les plus puissants d’Allemagne. Il devient même en 1912 le premier parti du Reichtag ce qui permet une amélioration condition de vie et de travail du monde ouvrier. Ces succès font du SPD une référence et un modèle pour les mouvement socialiste étrangers.

    En Aout 1914 le parti social-démocrate vote les crédits de guerre et accepte l’Union sacrée proposée par l’Empereur Guillaume II Le SPD soutient l’effort de guerre allemand. Mais ce choix divise rapidement le parti. La première guerre mondiale marque la défaite de l’unité du mouvement socialiste allemand des 1915 l’Union sacrée et la poursuite de la guerre provoque des débats au sein du partie.

   Une nouvelle fois le SPD est traversé par une division interne qui oppose une tendance révisionniste a une tendance révolutionnaire pour les premiers soutenus par Edouard Bernstein la préparation de la révolution passe au second plan pour les seconds organisés autour de Rosa Luxemburg et de Karl Liebknecht la révolution  reste le principal objectif et la grève générale le moyen pour y parvenir.

   Cette division idéologique provoque une scission en janvier 1915 Rosa Luxemburg et Karl Liebknecht fondent un groupe révolutionnaire appelé Ligue spartakiste qui dénonce la guerre et le choix politique de la majorité du SPD.

   Cette division s’accentue au fur et a mesure que la guerre s’éternise.

   Le mouvement ouvrier allemand a es débuts entre tendance marxiste et réformiste L’unification de ces deux tendance est effective lors du congrès de Gotha en 1875. Ce parti entame ensuite une croissance sacrée lors du déclenchement de la première guerre mondiale, mais au prix d’une scission en 1917

     La continuation de la guerre et l’échec d’une révolution entraine une division profonde et durable entre les deux composantes du mouvement ouvrier allemand.

    En Octobre 1918 des mutineries d’ouvriers accompagnent les dernier jours de la guerre. L’empereur Guillaume II abdique le 9 Novembre et la république est proclamée Friedrich Ebert responsable SPD en devient le premier chancelier.

   Le SPD soutient pleinement cette république et participe a un gouvernement de coalition tandis que les Spartakistes se soulèvent contre le nouveau régime cette tentative révolutionnaire inspirée du régime Bolchevik de Russie est violemment réprimée et s’achèv par l’assassinat en Janvier 1919 lors de la semaine sanglante de Karl Liebknecht et de Rosa Luxemburg. Cette répression provoque une division durable au sein du mouvement ouvrier et un partie de la classe ouvrière se radicalise au sein du parti issu de la ligue Spartakiste Le KPD.

   La scission avec le parti communiste KPD renforce le courant réformiste au sein du SPD qui se présente désormais comme partie socialiste favorable a des réforme politique et social dans le cadre démocratique de la république de Weimar a laquelle il s’identifie totalement, Friedrich Ebert est élu président de la république en février 1919 entre 1918 et 1933 le SPD est au cœur de la vie politique allemand et obtient de nombreuses masure en faveur du monde ouvrier en novembre 1918 les syndicat sont reconnus officiellement comme les représentants des salariés mais le SPD doit régulièrement faire face a une double opposition d’un côté celle des partis nationaliste qui dénoncent le diktat de versailles signé en juin 1919 et d’autre celle du KDP dirigé par Ernst Thalmann qui se revendique comme le seul parti du monde ouvrier.

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