Nouveaux Essais sur l'entendement humain écrit par Leibniz 1703
Discours : Nouveaux Essais sur l'entendement humain écrit par Leibniz 1703. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Volpo LeDozo • 2 Janvier 2022 • Discours • 474 Mots (2 Pages) • 447 Vues
Ce texte est un extrait des Nouveaux Essais sur l'entendement humain écrit par Leibniz en 1703. Il aborde, dans ce texte, le sens et leurs importance dans la vérité . D’après l'auteur ,les sens correspond a des exemples, des hypothèse constituant un chemin pour atteindre la vérité mais sans pouvoir la justifié. On peut se demander si on peut atteindre la vérité par les sens? Comment la vérité est elle construite? Quels rôles possèdent les sens dans cette construction?Jusqu’à la ligne 3 l'auteur expose sa thèse, il pense que les sens ne sont pas suffisant pour atteindre une vérité universelle et nécessaire . Puis entre les lignes 3 à 6, il nous expose son premier argument selon lui ce qui se produit une fois ne produira peut être pas dans d'autre conditions , il justifie cet avec un exemple des lignes 6 à 9, il prend comme exemple les peuples grecs et romains qui pensaient que les journée faisait toujours 24h. Leibniz nous expose un autre argument des lignes 9 à 12 ou il compare la vérité a des mathématiques et il dit que les mathématiques ne se base pas sur des exemple et donc sur des sens. Certains enjeux apparaissent dans ce texte, on vient a demander qu’est ce qu’une vérité? Et doit-on atteindre la vérité ?
L’auteur commence se texte par le mot «sens» qui sont les diverses fonctions de la sensibilité et le terme «connaissances» fait référence a la vérité que nous avons prouvées . Pour Leibniz les sens sont comme des expérience pouvant nous amené vers une vérité sans confirmer sont universalité ou confirmer quels marche dans tout les cas. On pourrait se dire que c’est évident mais dans certain cas nous somme dans l’inconscience et donc on ne perçoit que se qui a notre porté comme le démontre .
Après avoir affirmer sa thèse l’auteur va l’illustrer avec un exemple.
« Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles.
On pourrait se dire que c’est évident mais dans certain cas nous somme dans l’inconscience et donc on ne perçoit que se qui a notre porté comme le démontre .
Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même
D’où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu’on les trouve dans les mathématiques pures4 et particulièrement dans l’arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépende point des exemples, ni par conséquence des témoignages des sens,
quoique sans les sens on ne se serait jamais avisé d’y penser. »
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