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La Guerre d’Algérie entre guerre et mémoires

Fiche : La Guerre d’Algérie entre guerre et mémoires. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Mai 2021  •  Fiche  •  733 Mots (3 Pages)  •  464 Vues

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Suite cours « la Guerre d’Algérie entre guerre et mémoires »

Une guerre franco-française. Le conflit domine la vie politique française, les gouvernements se succèdent faute de consensus. La peur dʼune guerre civile entretenue par les attentats de lʼOAS, bloque toute possibilité de négociation avec le FLN. En métropole, des intellectuels comme Gisèle Halimi, Simone de Beauvoir ou Pierre Vidal-Naquet se mobilisent contre les exactions commises par lʼarmée française.

La fin de la IVe République. Le régime d'assemblée, impuissant, subit les événements algériens. Le 13 mai 1958, des manifestations ont lieu à Alger et un Comité de salut public réclame le retour de Charles de Gaulle au pouvoir. Le 15 mai, ce dernier se dit prêt à « assumer les pouvoirs de la République » : il est investi président du Conseil le 1er juin, obtient les pleins pouvoirs pour six mois et le droit de réviser la Constitution.

. Dans un premier temps, Charles de Gaulle poursuit l'engagement militaire contre le FLN. À partir de 1959, il change d’avis et accepte le principe de l'indépendance de l'Algérie. Cette décision est perçue comme une trahison par les Français d'Algérie, ce qui entraîne des émeutes à Alger et une tentative de putsch militaire en avril 1961.

 L’indépendance de l’Algérie. Les accords d'Evian en mars 1962 mettent fin à la guerre et sont ratifiés par un référendum en France (90 % de oui) et en Algérie (99,7 % de oui). Un million de rapatriés arrivent en métropole. Juifs et pieds-noirs quittent l’Algérie dans la précipitation, tandis que les harkis, majoritairement abandonnés en Algérie, sont victimes de massacres.

Suite cours « la Guerre d’Algérie entre guerre et mémoires »

Une guerre franco-française. Le conflit domine la vie politique française, les gouvernements se succèdent faute de consensus. La peur dʼune guerre civile entretenue par les attentats de lʼOAS, bloque toute possibilité de négociation avec le FLN. En métropole, des intellectuels comme Gisèle Halimi, Simone de Beauvoir ou Pierre Vidal-Naquet se mobilisent contre les exactions commises par lʼarmée française.

La fin de la IVe République. Le régime d'assemblée, impuissant, subit les événements algériens. Le 13 mai 1958, des manifestations ont lieu à Alger et un Comité de salut public réclame le retour de Charles de Gaulle au pouvoir. Le 15 mai, ce dernier se dit prêt à « assumer les pouvoirs de la République » : il est investi président du Conseil le 1er juin, obtient les pleins pouvoirs pour six mois et le droit de réviser la Constitution.

. Dans un premier temps, Charles de Gaulle poursuit l'engagement militaire contre le FLN. À partir de 1959, il change d’avis et accepte le principe de l'indépendance de l'Algérie. Cette décision est perçue comme une trahison par les Français d'Algérie, ce qui entraîne des émeutes à Alger et une tentative de putsch militaire en avril 1961.

 L’indépendance de l’Algérie. Les accords d'Evian en mars 1962 mettent fin à la guerre et sont ratifiés par un référendum en France (90 % de oui) et en Algérie (99,7 % de oui). Un million de rapatriés arrivent en métropole. Juifs

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