Comment subvenir à nos besoins en électricité par rapport à notre consommation actuelle ?
TD : Comment subvenir à nos besoins en électricité par rapport à notre consommation actuelle ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quentin0811 • 6 Octobre 2022 • TD • 1 062 Mots (5 Pages) • 267 Vues
INTRODUCTION
La question de l’énergie est au cœur de l’actualité. A l’heure du dérèglement climatique, des chocs pétroliers ou encore des conflits entre l’Europe et la Russie, il s’avère fort probable que nous devions envisager des pénuries d’énergie pour les années à venir. Nous pouvons alors nous demander comment pourrions-nous envisager de disposer de suffisamment d’énergie telle que le pétrole, le gaz ou encore l’électricité pour nos besoins quotidiens dans les mois et/ou années à venir.
Dans un premier temps, nous verrons différents points d’amélioration pour changer le mode de consommation énergétique de l’Homme. Puis, dans un second temps, nous exposerons différents moyens pour augmenter la production d’énergie.
Comme on le sait, nos habitudes de consommation ne sont plus en adéquation avec les moyens de production que nous possédons. L’acheminement de certaines énergies, telle que le gaz actuellement en Europe centrale avec la Russie connaît un désagrément dû à des tensions politiques notamment. De plus, l’être humain a tendance à consommer de plus en plus d’énergie durant la dernière décennie
https://www.edf.fr/groupe-edf/espaces-dedies/l-energie-de-a-a-z/tout-sur-l-energie/l-electricite-au-quotidien/la-consommation-d-electricite-en-chiffres#:~:text=En%202018%2C%20la%20consommation%20finale,sup%C3%A9rieur%20%C3%A0%20celui%20de%202017.
Ce graphique nous démontre ainsi que notre consommation d’énergie dans le monde a quadruplé de 1974 à 2018 en passant de 5250 TWh à 22 000 TWh environ.
Certains continents, contenant des pays émergents et à fort développement ces dernières décennies ont tendance à connaître la plus grosse augmentation en %age. Par exemple, la Chine a connu une explosion de sa consommation sur la période 1990-2018 qui se chiffre à 1040% d’augmentation. De plus, la part mondiale de cette consommation représente tout de même 27,8%.
1ERE PARTIE
Comme exposé précédemment, voyons comment nous pourrions envisager de disposer de suffisamment d’énergie pour nos besoins quotidiens dans les mois / années à venir.
Dans un premier temps, il s’agirait de changer, freiner, voire baisser notre consommation actuelle.
Voici comment nous pourrions drastiquement la baisser :
- Interdire les luminaires, et les enseignes de marque / publicités la nuit
Comme le titre Les Echos : « L'extinction des enseignes lumineuses pourrait générer près de 200 millions d'euros d'économies ». Le tout en éteignant uniquement de 1h à 6h du matin, soit 5h d’extinction des feux.
- Prioriser les moyens de transports en commun pour certains trajets.
Le covoiturage, ainsi que les sociétés de bus low cost contribuent à une baisse des trajets solitaires en voiture.
Le site blablacar dit notamment « Le covoiturage permet d’économiser plus d’1,6 million de tonnes de CO2 par an tout en doublant le nombre de personnes qui se déplacent ».
Ainsi, cela représente une économie d’énergie, mais aussi une baisse de la pollution.
- Arrêter la surconsommation.
La nourriture que l’on finit par jeter, tout comme les textiles à peine usagés, ou bien le simple fait d’acheter le nouvel iPhone tous les ans, sans revendre, ou donner son ancien, représentent des actes de surconsommation. Ceux-ci sont très facilement évitables.
- Stopper l’obsolescence programmée / les produits de piètre qualité
Ces produits tendent à ne plus fonctionner, ou à ne plus pouvoir être utilisés dû à leur qualité, ou bien l’usage que le fabricant à souhaité définir.
Ainsi, cela contraint l’usager à renouveler l’achat, donc indirectement la production, de produits alors que cela aurait très facilement pu être évitable.
De plus, il est important que nos politiques ne soient pas qu’exécuteur mais également, l’exemple des changements, comme par exemple en arrêtant la consommation d’essence lors de trajets non essentiels.
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