Types comiques malades imaginaire / La médecine au XVIIème siècle

Etude d’ensemble N°2 : La médecine au XVIIème siècle

                 Quelles critiques des médecins et de la médecine ?

I,1

« Si bien donc que ce mois j’ai pris une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze et douze lavements ; et l’autre mois il y avait douze médecines, et vingt lavements. » 🡪 médecine excessive, bcp de médicaments pour faire payer + les patients

II, 5 et 6

 « Thomas Diafoirus commence un compliment qu’il avait étudié, et la mémoire lui manquant, il ne peut le continuer. » 🡪 discours de Thomas, se trompe confond Angélique et Béline, M. Diafoirus dévalorise son fils car il est passif comme tout les médecins en général

III, 3

« Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias, en un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »🡪 les médecins prétendent savoir

III, 4

« Est-ce que vous ne sauriez être un moment sans lavement ou médecine ? » 🡪 Béralde refuse qu’Argan prenne le lavement, critique la dépendance des patients à ce que leur médecin leur prescrit

III, 5

« Voilà une hardiesse bien grande, une étrange rébellion d’un malade contre son médecin. » 🡪 les médecins veulent que leur patients leur obéissent

III, 6

« M. Purgon tienne dans ses mains le filet de vos jours, et que, d’autorité suprême, il vous l’allonge et vous le raccourcisse comme il lui plait. » 🡪 le médecin est maître de son patient, il décide de sa vie

III, 10

« Ce sont tous des ignorants. » 🡪 chaque médecin à son propre diagnostic donc aucun ne sait réellement ce que le patient a, ils ne savent donc rien

Dernier intermède

« Pendant mille et mille ans, qu’il mange et boive, et qu’il saigne et qu’il tue ! » 🡪 privilégie les saignés au lieu de soigner les patients

Etude d’ensemble N°3 : Le comique dans Le Malade Imaginaire : l’un des ingrédients d’une comédie …