Supplice de Quasimodo

Amorce sur l'objet d'étude : monstre, concept pour mettre à l'épreuve la question de l'homme

Un supplice spectaculaire

Un dispositif dramatisé

Un dispositif dramatisé

“Cria l’arrêt”

Condamnation irrévocable. Dernier mot de la justice

Distribution des rôles théâtrale et judiciaire

“trompette juré “ = crieur de foire

“tourmenteur-juré” = bourreau

Personne ayant de grands titres pour en réalité des métiers horrible.

Mise en scène du déroulement

Multiplication de paragraphe court

rythme implacable

action du premier plan au passé simple

“fit silence”, “on le mit à genou”..

Connecteur temporel au début de chaque paragraphe

“cependant”, “tout à coup”

Théâtralisation de l'exécution du condamné

La violence médiévale peinte de manière réaliste

représentation le pilori, la flagellation publique :

l. 9 à 13

punition humiliante → retirer sa dignité d'homme

chp lex de l'enfermement : l. 9, 13, 31 et 37

bannit le mouvement et le geste libre:

un déchaînement de violence : + détail du fouet

Enfer du supplice de la roue. Industrialisation de la torture

Contexte du Moyen-âge

voc d'époque : public composé de "manants", "charrette", "cette gaieté"

au sens de spectacle de rue divertissant

choix des noms et des fonctions l. 4 " ce qu'on appelle alors", "une tradition de"

Distance entre les ancienne et nouvelles pratiques de justice

Le rôle des parenthèses

L17 et 27

Présence du narrateur

la dimension réaliste du récit par des détails faussement anecdotiques

particularité de la 1ère parenthèse à la ligne 8

Ironie perceptible

Présent d’énonciation

Créer de la distance

Remise en cause la pertinence de cette torture mais également de la violence légitimée par l'exercice de la justice est toujours actuelle au XIXème.

V.Hugo prend position sur la peine de mort

Un monstre grotesque et pitoyable

Une apparence de monstre ( Quasimodo = semblable à…)

son corps :

malformation, animalisation + handicapé (sourd)

ses expressions/ ses attitudes :

ne ressent rien.

et surtout pas de parole → scène muette

les comparaisons animales :

bête inoffensive sacrifiée à l'abattoir. + « poitrine de chameau » (l.18)

« le taureau piqué au flanc par un taon » (l. 39)

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