Relation entre la médecine et la psychosomatique
Commentaire d'oeuvre : Relation entre la médecine et la psychosomatique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leaugt • 19 Janvier 2020 • Commentaire d'oeuvre • 1 286 Mots (6 Pages) • 427 Vues
Promotion : 2019-2022
Rendu le : 16 décembre 2019
Relation entre la médecine et la psychosomatique
UE 6.1 Méthodes de travail
UE 1.1 Psychologie, sociologie, anthropologie
Responsable de l’UE :
Promotion : 2019-2022
Rendu le : 16 décembre 2019
Relation entre la médecine et la psychosomatique
UE 6.1 Méthodes de travail
UE 1.1 Psychologie, sociologie, anthropologie
Responsable de l’UE :
Table des matières
Page 1 :
introduction
Développement
Page 2 :
Analyse
Page 3 :
Suite de l’analyse
Conclusion
Page 4 :
Bibliographie
L’article sur lequel s’appuie cette fiche de lecture a été écrit par Christian Delourmel il se nomme « affect et pulsions en médecine et en psychosomatique : questions clinique, théoriques et épistémologiques » il est extrait de la revue françaises de psychosomatiques issus de la presses universitaires de France paru en 2014 de la page 41 a 75. L’auteur auparavant étais médecin généraliste il est devenue psychanalyste, c’est un grand spécialiste de la psychosomatique qui est très connu par les psychosomaticiens de Madrid. Il est membre titulaire de de la sociétés de psychanalytique de Paris. Monsieur Delourmel a réalisé 35 réalisations que ce soit des articles, des revues ou des chapitres de livres comme l’article « la vérité et la réalité, entre conviction et croyance ». Dans l’article que nous allons étudié Christian Delourmel s’appuie sur des faits, des recherches spécifiques pour analyser et mettre en évidence qu’il ne faut pas dissocié le soma du psychique.
L’idée principale développée par l’auteur dans cet article, est la dissociation du soma est du psychique. D’un coter les médecins qui sont plutôt centrés sur le « soma », le corps la maladie en elles mêmes et de l’autre les psychanalyste qui sont centré sur le « psycho » le psychisme.
Hors il explique grâce a des faits qu’il ne doit pas y avoir de séparation entre les deux car l’individu doit être pris dans sont intégralité avec sont corps, sa maladie, son histoire de vie… Pour démontrer cela il nous amènent vers divers sujet, notamment dans la première partie il nous parlent de la théorie du spasme coronarien en lien avec l’affect psychique. Dans la deuxième partie de l’effet placebo qui est une substance sans principe actif mais qui, en raison de son aspect peut agir par un mécanisme psychologique sur un sujet croyant prendre une substances thérapeutique. Ainsi de l’effet nocebo qui est l’apparition d’ effet indésirables bénins, d’origine surtout psychologique, après administration d’un médicament inactif ou qui ne peut produire cette effet. Ces deux effets sont mis en évidence par deux cas clinique. Il parle aussi du narcissisme et de la théorie des pulsions. Pour finir il évoque les questions épistémologique comme la fièvre puerpérale.
Dans cette article, monsieur Delourmel nous dit que le chamboulement d’évènement, un vécu traumatisant peut avoir un retentissement sur le corps, un impact sur la santé et sur la survenue de maladie. Il pense que sa peut être le cas avec l’histoire de madame P qui étais atteintes d’un cancer de la trompe et qui avais un vécu difficile avec sont mari alcoolique qui la frappait. Il est donc important de tenir compte de la dimensions émotionnelle de la personne, dans qu’elle environnement vit t’elle ce qui l’entoure, n’est t’il pas important de se senti bien? A tous point de vue, car selon l’OMS la santé est « un etat complet de bien être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Il est donc indispensable d’avoir une stabilité psychologique pour être en bonne santé ce qui n’étais pas la cas de madame P.
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