Primo Lévi
Dissertation : Primo Lévi. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Chloe Pruvost • 22 Février 2019 • Dissertation • 823 Mots (4 Pages) • 502 Vues
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(Introduction:)
- Primo Lévi est un rescapé des camps de concentration, s’était un juif. Il raconte dans son livre: «Si c'est un homme», ce qu'il a vécu au sein des camps. Nous sommes situé au XX eme siècle, à cette époque, Hitler était a la tête du pouvoir où il instaure une dictature totalitaire et antisémite. Son livre « si c'est un homme» a était publié en 1947.
- Comment Primo Levi interroge t'il le lecteur sur le fait de gardé espoir ou de désespéré?
- Nous verrons dans une première partie, comment il nous invite a espéré puis dans une seconde partie, ce qui l'invite a désespéré.
- (Primo Lévi invite à espéré:)
- ( alinéa (1ere idée)) Primo Lévi, nous montre que la fraternité reste tout de même présent au sein des camps. On l'apprend gràce à Lorenzo, qui est un civil italien et qui lui à rendu visite régulierement: «tout les jours pendant six mois» (ligne 8). Lorenzo était comme un frére pour Primo Lévi, il était bon et gentil, on le voie avec l'aide du champs lexical de bon: «bon» (ligne11 et 21), «Bonté» (ligne 24). Primo lévi dit aussi: «je crois que s'est justement à Lorenzo que je dois d'etre encore vivant» (Ligne 19).
- ( alinéa (2eme idée)) L'auteur de ce livre, parle aussi de partage. Gràce a Lorenzo, Primo Lévi à vécu une expérience collective. Lorenzo lui a apporté de quoi survivre: « un morceau de pain et le fond de sa gamelle» ( ligne 9). Mais ce n'était pas le seul à avoir de quoi survivre: «Je n'étais pas un cas isolé» (ligne 13); « Plusieurs d'entres nous entretenait des rapports (…) avec des civils) (ligne 14). Primo Lévi avait également vécu une expérience unique avec Lorenzo. Il explique que Lorenzo ne lui apportait pas uniquement de quoi ce nourrir mais aussi de quoi ne pas avoir froid: « un de ses chandails rapiécès» (ligne 10). Il lui as permis de garder contact avec l'exterieur grâce au carte postale qu'il envoyait et dont il donnait la réponse: «écrivit pour moi une carte postale(...) me fit parvenir la réponse» (ligne 10 et 11). Lorenzo faisait tout cela pour Primo Lévi sans ne rien lui demandait en retour.
- ( alinéa (3éme idée)) Dans l'extrait 5: « l'enfer», les «invalides» descendent du camion et doivent rentrer dans une vaste piéce sans rien, excepté un robinet. Au dessus de ce robinet ce trouve un écriteau sur lequel il est ecrit qu'il ne faut pas boire car l'eau serait polluée. Mais Primo lévi ne reste pas la à regarder le robinet, il boit pour pouvoir rester en vie et donc ne pas mourir de soif. Il invite les autres à faire de même en précisant qu'il faut recracher l'eau car elle est «tiéde», «douceatre» et «nauséabonde». Cela prouve encore une fois que Primo Lévi éspere pouvoir resté en vie.
(passer 1 lignes et alinéa)
- II. (Primo lévi invite a désespéré:)
- (alinéa(1ere idée)) L'auteur, Primo lévi nous explique dans son livre que les besoins vitaux ( chaleur, manger et boire ) sont moins présent et laissent place au desepoir. Il nous l'évoque dans l'extrait 4: « La déportation», qu'ils sont enfermé dans des wagons de marchandises sans ne pouvoir ni boire ni manger : «les privations, le froid, la soif» ( ligne 18). Les deportés dans ces wagons, n'avaient plus aucune envie de vivre: «il n'y avait là de notre part, ni volonté de vivre » ( ligne 19). Il insiste sur le fait qu'il avait froid et soif : «la soif et le froid nous faisaient souffrir à chaque arrêt» ( ligne 33), «au soir du quatriéme jour, le froid se fit intense» (lignes 48 et 49).
- (alinèa (2eme idée)) Dans les extraits 4 et 5, la deshumanisation ainsi que le processus d'initiation est présent. Les déportés arrivent dans des wagons où ils sont enfermés sans pouvoir ni boire, ni manger. Ils sont roués de coups dût à l'entassements des personnes dans les wagons. Ils arrivent dans les camps ou ils sont enfermés de nouveau, avec l'interdiction de boire alors qu'il y a un robinet présent dans la piéce. Ils doivent ensuite ce desabillés entierrement et seront tondus. Par la suite ils aurons un numéro inscrit sur eux ce qui signifie qu'ils n'auront plus d'identités et seront considéré comme des animaux.
( Conclusion ): On comprend que Primo Lévi, dans son livre Si c'est un homme, cherche à dénoncer la vie dans les camps de concentration durant la seconde guerre mondiale. Primo Levi nous fait comprendre que la vie au sein des camps à etait compliqué, qu'il y as eu des moments de doute, de désespoir mais que malgrès cela, il n'a pas perdu espoir pour rester en vie. Selon moi, l'auteur cherche à nous faire comprendre qu'il faut toujours garder espoir même lors ce que selon nous il n'y as plus aucun espoir.
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