Pour quelle raison, dans Fahrenheit 451 la lecture est-elle considérée comme dangereuse ?

Pour quelle raison dans ce livre la lecture est elle considérée comme dangereuse 40 lignes

Bury

Léo

2GT01

Fahrenheit 451est un roman de science-fiction dystopique de Ray Bradbury écrit en 1953 , le livre a obtenu le prix Hugo du meilleur roman en 1954.

Le titre fait référence à la température à laquelle s’enflamme et se consume un livre.

Pour quelle raison, dans ce livre, la lecture est-elle considérée comme dangereuse ?

C’est la question a laquelle je vais répondre tout au longs de se commentaire de texte.

Fahrenheit 451 est un roman de science fiction dystopique qui se passe dans une société uniformisé ou le bonheur de la population est primordiale , le bonheur est organisé sur les écran omniprésent dans les maisons. Un seul danger menace la sérénité des êtres humains : les livres, qui provoquent des sentiments néfastes et déclenchent des pensées négatives.

Le protagoniste du roman se nomme Guy Montag c’est un pompier d’un genre nouveau car, avec son équipe, il est chargé de brûler les livres au lieu d’éteindre le feu , les livres sont tous interdit on ne peut ni les lire ni en possédé. Guy Montag est d’abord un citoyen ordinaire, mais grâce à ces ouvrages et à ses discussions avec Clarisse McClellan il prend peu à peu conscience que son bonheur est artificiel et qu’un autre monde est possible. Il tente de dévoiler ces opportunités à sa femme, puis à ses amies, sans succès. Montag se tourne alors vers un ancien professeur, Faber, qui a pour projet de réimprimer des volumes disparus. Montag rencontre Faber est l'homme est tout d'abord surpris et inquiet de cette visite puis il accepte de laisser Montag entrer chez lui. Il lui donne alors les trois éléments qui expliquent selon lui la disparition des livres dans leur société :

1) D'abord, il y a de la vie dans les livres de qualité, des détails, de la texture de l’information. C’est ce qui pose problème aujourd’hui : les gens ne veulent pas avoir plusieurs visions de la vie, mais une vision unique et heureuse

2) Ensuite, nous avons le loisir de les assimiler. Les sources de joies actuelles ne permettent pas de penser, elles imposent une vision du monde. La possibilité même de fermer un livre le rend inoffensif, contrairement aux télés-écrans qui hurlent la raison sans pouvoir les stopper définitivement.

3)Enfin les livres donnent le droit d’accomplir des actions fondées sur les deux précédents préceptes.

Désormais, Montag remet régulièrement en question les structures du monde qui l’entoure, ainsi que les comportements de ses collègues et de sa femme, inconscients de l’endoctrinement dont ils sont victimes et de la guerre qui couve.A la fin du roman après que Montag soit en cavale il rencontre un groupe d’anciens professeurs d’université, rebuts de la société, qui vivent en petites communautés itinérantes le long du chemin de fer. Chacun d’eux connaît un texte par cœur, le sauvant ainsi de l’oubli. Alors qu’il vient de les rejoindre, la guerre éclate, et une bombe réduit en cendres la

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