Pierre et Jean
Étude de cas : Pierre et Jean. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nina54110 • 17 Décembre 2021 • Étude de cas • 846 Mots (4 Pages) • 419 Vues
Ayant fait encore quelques pas, il s’arrêta pour contempler la rade » l.80. Son état est donc
inconscient car cela montre que le personnage ne sait pas où il va car le terme utilisé est: «encore
quelques pas».
2. « Sur sa droite », « au-dessus » l.81, « une pente droite »l.86, «du sommet de la côte»,« au fond
de l’horizon »,l.87, « là-bas »l.88, « de l’autre côté » l.89, « si haut, si loin à travers l’embouchure»
»l.97, « çà et là »l.101, « Juste à ce moment », « derrière », l.107. Cela nous sert à nous situer /
visualiser les paysage et à le découvrir en même temps que Pierre.
3. Le champ lexical du cauchemar, du monstrueux : « deux cyclopes monstrueux », « queues
géantes de deux comètes », « colosses », «démesuré », « la mer obscure », « du phare énorme et
divin » opposé au champ lexical de la mer: «les deux phares»l.81, «l’horizon»,«les deux jetées»l.87,
«des ports»l.91, «la mer»l.92, «bancs de sable»l.99, «marée»l.105, «mouillage»l.106, «navires»l.93,
«grand fleuve»l.99, «l’eau profonde»l.100, «la flotte»l.109. Pierre passe d’un état d’esprit
fantastique et effrayant à un état d’esprit calme et apaisé.
4. Le thème du double est présent dans le livre «Pierre et Jean», en effet ce récit tourne autour du
chiffre deux avec deux frères, des jumeaux plus précisément, deux pères différents, le couple
Mme.Roland et M.Roland et évidemment le titre du récit qui évoque Pierre et Jean soit deux
personnes. Dans cette famille, ils ont tous un lien affectif envers quelqu’un sauf Pierre et Jean est
cela depuis fort longtemps. Cette dualité symbolise la jalousie que Pierre a, à l’encontre de Jean.
5.FIGURES DE STYLES:
Comparaisons: Personnifications: Métaphore:
« semblables à deux cyclopes »
(«[...]les deux phares électriques du cap de la
Hève, semblables à deux cyclopes monstrueux
et jumeaux [...]»)
« enfants de ces
colosses »
(« Puis sur les deux
jetées, deux autres
feux, enfants de ces
colosse, indiquaient
l’entrée du Havre [...]»)
« paupières »
(«[...]le mouvement
mécanique et régulier
de leurs paupières
[...]»)
« comme des yeux, des yeux des ports »
(«[...]à éclats et à éclipses, s’ouvrant et se
fermant comme des yeux, des yeux des ports
[...]»)
« les yeux vivants »
(«[...]guettant la mer
obscure couverte de
navires, les yeux
vivants de la terre
hospitalière [...]»)
« semblaient courir »
(«Presque toutes étaient immobiles, quelques-
unes, cependant, semblaient courir [...]»)
«C’est moi, je suis
Trouville, je suis
Honfleur
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