Phèdre, Acte 1, Scène 3.
Analyse sectorielle : Phèdre, Acte 1, Scène 3.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bohemie1 • 7 Juin 2018 • Analyse sectorielle • 711 Mots (3 Pages) • 1 115 Vues
Phèdre
Acte 1 Scène 3: vers 225 à 264
Analyse
Racine est un auteur du 17ème siècle (1639-1699). Il a vécu durant l’âge d’or du théâtre, et se prête au style classique, car aristocrate, il se plaît à flatter la monarchie.
L’action se déroule à Trézène, une ville du Péloponnèse. C’est l’histoire de Phèdre, fille de Minos et de Pasiphaé, mariée à Thésée, fils d’Egée et roi d’Athènes. Victime d’une malédiction de Vénus, Phèdre tombe amoureuse du fils que Thésée à eu avec Antiope, la reine des Amazones. Il se nomme Hypolyte. Lui même aime Aricie, une princesse. Cette pièce est un mythe de la passion amoureuse dévastatrice.
Le passage se situe à l’acte 1 scène 3. Avant le passage, Phèdre se meurt d’un mal qu’elle s’obstine à cacher, son mari a disparu, Hypolyte veut partir le chercher. Après le passage, Panone explique à Phèdre que son mari est mort et qu’Hypolyte vient de l’apprendre.
Ce passage est un moment clé de la pièce. C’est un dialogue entre Phèdre et Oenone. Elle avoue à sa nourrisse l’amour qu’elle porte pour Hypolyte.
Les enjeux principaux de cet extrait sont les suivants : Les « techniques » (mauvais mot, à changer) que oenone utilise afind de faire avouer à Phèdre…… la manière dont Oenone parvient à faire avouer Phèdre et les sentiments que phèdre éprouve en avouant son secret le plus intime comment Pèdre vit le fait de dévoiler son secret.
Dès la première réplique, Oenone parle du silence de Phèdre comme d’un silence « inhumain » et douloureux. En tant que nourrisse, Oenone a élevé Phèdre comme sa propre fille, elle a même abandonné sa famille pour elle (vers 235). (Elle) Oenone refuse de la laisser mourir car elle en mourrait aussi (vers 230). Elle explique à Phèdre que même un aveu terrible ne justifierait pas de la voir mourir (vers 239-140) car aucune « mère » ne veut voir mourir son enfant. En effet, Oenone est un « double maternel » de Phèdre. (C’est) Dès la page 27, Oenone accélère son discours. qu’il y a une sorte d’accélération dans le discours d’Oenone, elle se contente de poser des question rapides et brèves telles que: « Aimez-vous? », « Pour qui? », « Qui? ». Cela fait monter la pression dans ? l’auditoire. Lorsqu’Oenone dit sa dernière réplique, elle bouillonne et explose. Elle prend conscience de l’horrible secret que Phèdre s’est gardée de lui dévoiler. A sa dernière réplique, elle explose, elle se rend compte de l’horrible secret de Phèdre. Pour faire avouer à Phèdre, qu’elle considère comme sa fille sa « fille », Oenone joue sur son rôle de nourrisse, sur l’amour qu’elle porte à Phèdre et l’amour que Phèdre lui porte. C’est un personnage très important de la pièce, Phèdre n’aurait pas pu avouer son terrible mal être (pas sûre que ça s’écrive comme ça) à une autre personne qu’à la femme qui l’a élevée.
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