Pensons-nous bien lorsque nous bavardons ?
Commentaire d'oeuvre : Pensons-nous bien lorsque nous bavardons ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Majid GM • 5 Janvier 2020 • Commentaire d'oeuvre • 445 Mots (2 Pages) • 1 950 Vues
Pensons-nous bien lorsque nous bavardons ?
Le mot bavardage exprime le fait d’une conversation dans un contexte où autrui est censé se consacrer à une autre tâche. On utilise ce terme, à bon escient évidemment dans le cadre scolaire, ou lorsque l’enseignant exige l’arrêt des bavardages de ces élèves par exemple. Selon plusieurs études les bavardages résultent de l’échec scolaire de certains et ainsi donc nuisible à la société. De manière générale on définit le bavardage comme une conversation que l'on trouve futile, stérile ou donc d'importance secondaire. Or l’anthropologie, présente l’homme comme un être qui pense moralement. La vision morale du monde apparait dans un principe qui domine la plupart des théories de l’union de l’âme et du corps : l’un des deux n’agirait pas sans que l’autre pâtisse, ainsi l’homme lorsqu’il bavarde il pense en même temps. Or l’intitulé du sujet est accentué par le mot « bien », donc est-ce pour autant que nous pensons bien que nous bavardons ?
Le bavardage est donc tout d’abord un acte naturel, en effet il est peu commun d’interdire à deux être de parole l’interdiction de parler puisque aujourdui tout et a sujet de discussion. De plus, cela ne demande pas une bonne maitrise de la langue, en effet l’on peut être quelqu’un de très habille ou non pour tenir des discours peu pertinents
Pensons-nous bien lorsque nous bavardons ?
Le mot bavardage exprime le fait d’une conversation dans un contexte où autrui est censé se consacrer à une autre tâche. On utilise ce terme, à bon escient évidemment dans le cadre scolaire, ou lorsque l’enseignant exige l’arrêt des bavardages de ces élèves par exemple. Selon plusieurs études les bavardages résultent de l’échec scolaire de certains et ainsi donc nuisible à la société. De manière générale on définit le bavardage comme une conversation que l'on trouve futile, stérile ou donc d'importance secondaire. Or l’anthropologie, présente l’homme comme un être qui pense moralement. La vision morale du monde apparait dans un principe qui domine la plupart des théories de l’union de l’âme et du corps : l’un des deux n’agirait pas sans que l’autre pâtisse, ainsi l’homme lorsqu’il bavarde il pense en même temps. Or l’intitulé du sujet est accentué par le mot « bien », donc est-ce pour autant que nous pensons bien que nous bavardons ?
Le bavardage est donc tout d’abord un acte naturel, en effet il est peu commun d’interdire à deux être de parole l’interdiction de parler puisque aujourdui tout et a sujet de discussion. De plus, cela ne demande pas une bonne maitrise de la langue, en effet l’on peut être quelqu’un de très habille ou non pour tenir des discours peu pertinents
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