Olympe de Gouges soutient-elle des courants d’idées d’autres auteurs dans son œuvre ?

À la fin du XVIIIème siècle, des révoltes (dues à une grande famine) vont bousculer la vie des parisiens et de tous les français. Ces évenements seront un tremplin pour de nouveaux courants de pensées, qui idoleront le principe de réflexion et les idées nouvelles. Cela aura un impact dans la littérature, et l’on verra naitre l’Encyclopédie ainsi que bons nombres de grands ouvrages comme celui-ci.

Mais aujourd’hui nous allons nous intéresser à un ouvrage écrit sur le modèle de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : la Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne, écrite et publiée en 1791 par Olympe de Gouge. Nous allons détailler comment Olympe de Gouge traite du sujet des droits de la femme et de l’égalité. Nous nous poserons également la question : comment, par un registre Polémique, Olympe de Gouge arrive-t-elle à soutenir des courants d’idées d’autres auteurs tout en écrivant une œuvre qui traite des droits de la femme.

Pour cela nous allons dans un premier temps voir comment Olympe de Gouge combat en faveur des droits de la femme. Puis nous allons nous tourner vers la question : Olympe de Gouge soutient-elle des courants d’idées d’autres auteurs dans son œuvre ?

Dans les paragraphes ci-dessous nous allons voir dans un premier temps comment Olympe de Gouge lutte-t-elle pour l’égalité homme-femme en étudiant le texte introduit par la phrase « Homme, est tu capable d’être juste ? ». Puis nous allons voir en quoi elle rejoins un combat en faveurs des femme des droits féminins en faisant un lien avec le discourt de Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt.

Tout d’abord, le texte commence par une apostrophe « Homme » qui donne le ton dès le commencement. Ton qui est aussi donner via le tutoiment qu’elle utilise tout au long du texte pour se mettre à égale avec l’Homme. La première phrase est aussi une question réthorique qui sous-entend son premier argument en faveur de l’égalité homme-femme lutilisation de l’adjectif « juste » est là aussi pour demander une égaliter. On peut noté aussi une emphase sur le sujet dans la phrase « C’est une femme qui t’en fais la question » suivi de la négation « tu ne lui ôteras pas du moins ce droit » qui est là pour rappeler à l’interlocuteur qu’ils sont d’égale à égale, qui seras remis en évidance dans l’article dix « nul ne doit être inquiété pour ses opinion même fondamentales, la femme a le droits de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ; pourvu que ses manifestation ne troublent pas l’ordre publique établi par la loi. ». Suite à cette entré en matière quelque peut polémique l’autrice vas écrire une accumulation de 5 intérogation sur les origines des inégaliter homme-femme en faisent le lien avec le discour de Jean-Jacques Rouseaux : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes de 1755 qui est une réponce à un sujet de l’Académis de Dijon nomé : « quelle est l »origine de l’inégalité parmis les hommes, et si elle est autoriser par la loi naturelle ? ». Olympe de Gouge poursuit ensuite par deux hyperboles « souvrain empire » et « empire tyrannique » qui sont présentes pour dénoncé la suprématie que l’homme s’est infliger(car il n’aurait eu de révolte par la suite dans l’histoire).

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