Lecture analytique de l’acte cinq du mariage de Figaro
Commentaire d'oeuvre : Lecture analytique de l’acte cinq du mariage de Figaro. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mxelysg • 8 Janvier 2020 • Commentaire d'oeuvre • 849 Mots (4 Pages) • 650 Vues
Ce texte est un extrait de la scène trois de l’acte cinq du mariage de Figaro écrit en 1784 par Beaumarchais. Beaumarchais de son vrai nom Pierre Augustin Caron né en 1732 etmort en 1799. C’était un homme a plusieurs facettes il a d’abord repris le métier de son père qui était horloger il a également été professeur de harpe auprès des filles de Louis XVI il est aussi devenu homme d’affaires est enfin il a été écrivant. Il s’est marié avec une riche veuve c’est de là qu’il a pris le nom de Beaumarchais.
Le mariage de Figaro fait partie d’une trilogie dramatique avec également le barbier de Séville qui a été écrit en 1775 et la mère coupable écrit en 1792. Dans cette pièce on ’y trouve cinq actes. Cet extrait est un monologue de Figaro qui est le plus long monologue du théâtre français nous allons donc étudier qu’une partie de ce monologue de ligne une à 40. Dans cet extrait figaro se rendre au jardin où on lieu les rendez-vous car il pense que Suzanne la trahi et la trompe avec le comte.
Grâce à ce monologue on va voir comment figaro dénonce la société les inégalités et les injustices.
Dès la première didascalies externe nous pouvons remarquer l’adjectif « seul » Qui introduit le monologue et juste après « Se promenant dans l’obscurité » on voit que la mise en scène est en harmonie avec l’humeur de Figaro. Nous pouvons également remarqué un mot qui fait partie du champ lexical de l’obscurité c’est le mot « sombre » . À la première ligne quand il dit « ô femme! Femme ! Femme! » nous pouvons remarquer une répétition et de la ligne une à deux « ô femme!....à son instinct » On peut voir qu’il utilise des mots péjoratif qui déshumanise la femme car il croit avoir été trahi par Suzanne il exprime donc sa colère et sa jalousie. A la ligne Trois et quatre quand il dit « après m’avoir obstinément refusé quand je l’empresser devant sa maîtresse » Figaro reviens sur les événements passés il fait référence à la scène deux de l’acte deux et quand il dit juste après Figaro reviens sur les événements passés il fait référence à la scène deux de l’acte deux et quand il dit juste après « À l’instant qu’elle me donne sa parole au milieu même de la cérémonie... Il riait en lisant le perfides » Ici il fait référence à la scene neuf de l’acte quatre. À la ligne sept jusqu’à la ligne neuf « parce que vous êtes un grand seigneur, vous croyez un grand génie ! Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de bien ? » ici figaro dénonce les inégalités sociales il dénonce le pouvoir et les droits qui sont basées sur la naissance et la richesse alors que pour lui cela devrait être basée sur le mérite dans cette même phrase quand il dit « vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie » c’est un parallélisme entre grands seigneurs et grands génies mais les deux verbes être et croire oppose ces deux idées. Figaro remet ici en question les qualités intellectuelles de la noblesse. A la ligne dix quand il dit « vous vous êtes donné la peine tandit que moi morbleu » c’est une opposition entre le comte et Figaro. Les fortes ponctuation qu’on peut retrouver tout le long de son monologue point d exclamation d’interrogation et les point de suspensions montre
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