Le genre épistolaire

A la fin du XVII le goût des voyage et l’Orient plaisent aux gens. Toutefois les lettre Persanne on été publié anonymement. Et Montesqieue se présenta comme éditeur pour critiquer la société tout en esquivant la censure. Lettre persannes est un roman epistolaire dont l’auteur est montesquieux, qui fût publié en 1732. Ce roman rassemblent des lettre fictive que s’échagent deux persans. Après avoir lu cet extrait nous pouvons donc nous demander, comment le regard d’Usbek qui est l’émetteur de la lettre, est-il utilisé pour exercer une critique. Pour cela, nous verrons dans un premier temps que le genre epistolaire est utilisé en guise d’argumentation. Dans un second temps, nous verrons que le poète garde tout de même un regard distancé. Enfin, nous verrons que cette lettres est une critique sociale contemporaine.

I. le genre épistolaire en guise d’argumentation.

Premièrement, l’identité de l’emmeteur peut se comparer un masque. Un persans qui est en visite à Paris s’adresse à un ami qui est resté à Smyrne. Cependant, le temps de l’écriture correspond à l’actualité qui est le règne de Louis 14. Ce qui marque une situation entre fiction et réalité .

Deuxièmement pour nous montrer qu’il utilise ce genre en guise d’argumentation l’auteur compare, la société perse et la société fraçaise. Dans cette comparaisons assez complexe, l’auteur utilise « point d’exemples dans nos histoires » en raisons de la vielliesse du roi et du champs lexical lié à la Perse « celuis des Turcs », « Notre Auguste Sultants », « la politique orientale ».

De plus cette lettre à un double destinataire qui est ibben ainsi que le lecteur de Montesqieue. C’est une lettre à caractère intime déstiné à un destinataire fictif qui est Ibben mais aussi aux lecteurs du 18ème qui ne sont jamais mentionné mais identifiable grâce aux élément chronologique, notament grâce a la mention de l’anné « 1713 » à la ligne 34 ou encor « vieux » à la ligne 3 qui fait référence à l’âge du roi.

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