La femme dans la littérature
Commentaire de texte : La femme dans la littérature. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar anthony soteras • 1 Février 2018 • Commentaire de texte • 2 641 Mots (11 Pages) • 863 Vues
Toutes les civilisations ont été construite par de grands hommes . Ce sont ces hommes qui ont longtemps dirigé les civilisations qu’ils ont créés. Depuis , ce genre était un privilège : les humains qui étaient dotés de ce sexe jouissaient d’une supériorité sur le sexe opposé . Pourtant cette domination , qui était de l’ordre politique , militaire , financier et tout ce qui se rapporte à l'épanouissement individuel , est le résultat d’un hasard. Un hasard naturel injustifié . Le XVIIIème siècle, siècle du progrès et des sciences , qui est le siècle des Lumières, marque un changement d’esprit qui a conduit a une égalité entre les hommes et les femmes , ou une différence entre ces deux genres moins importante. Mais cette envie d’égalité est bien plus ancienne , que ce soit lors du siècle précédent , lors du classicisme , ou bien encore avec des auteurs grec .
Le Mariage de FIgaro , qui est une pièce de théâtre et Les lettres persanes , roman épistolaire, sont deux oeuvres des lumières, écrite respectivement par Beaumarchais et Montesquieu . Dans la scène 16 de l’acte III de La Folle Journée, Marceline apprend l’existence de son fils et dénonce la condition féminine. Dans la lettre final de Les lettres persanes , on apprend que Roxane a trompé Usbek. La jeune veuve est une fable de La Fontaine , fabuliste du classicisme. Cette fable raconte l’histoire d’un veuve qui , après écoulement du temps , décide de se marier à nouveau. Et dans la pièce L’assemblée des femmes , écrit par Aristophane ,auteur grec, les femmes essayent de prendre le contrôle de l’état . Toutes ces oeuvres ont pour point commun le traitement de la femme dans la société.
Comment les femmes défendent-elles leurs droits, comment expriment-elles des revendications? Pour se faire , nous allons voir comment les femmes assurent leurs droits , puis leurs désirs et la critique du patriarcat .
Les femmes assurent leurs droits grâce à leurs maîtrises . À travers la raison , elles arrivent à défendre leurs droits grâce un plaidoyer . Ce plaidoyer va être généralisé pour servir de modèle. Dans les quatres textes , les femmes ne se contente pas de se défendre elles-même , mais défendent aussi les droits de leurs soeurs . Dans le texte d’Aristophane , Gaillardine , déguisé en homme , va se présenter en le nom des femmes Athéniennes , les arguments pour laisser le pouvoir au femmes . Dans son texte, Montesquieu , généralise lui aussi :” Mais tu as eu l’avantage de croire qu’un coeur comme le mien t’étais soumis” (ligne 15, Montesquieu) . Marceline fait de même au début elle exprime son opinion “je”(l.2) puis rend son argumentation global “nous”(.9) pour qualifier les femmes , et désigne les hommes par “vous”(l.9). Dans la fable , La Fontaine ne désigne aucune femme en particulier : il désigne la veuve par “on”(vers 2) et non par pas un nom, ce qui permet d'identifier n’importe quelle femme.Le fait que ces plaidoyers soit général le rend d’autant plus vrai : il passe d’un point de vue personnel , et donc subjectif , à un point de vue global , donc objectif. Cela permet de fédérer et de susciter l’adhésion. Ce plaidoyer est objectif. Cela signifie qu’il se doit d’être juste et raisonnable . Ces femmes ne cherchent pas une domination, mais souhaitent seulement un inégalité presque parfaite . Gaillardine se bat pour pouvoir donner l’accès au pouvoir aux femmes , sans exclure les hommes : elles s’adressent à eux “Allons, Messieurs” (l.13). Elle aurait put essayer de leurs arracher , mais elle préfère débattre, et elle reste ainsi sensé. Roxane fait de même “tu me croyais trompée , et je te trompais”. Elle s’autorise à faire ce que Usbek fait , sans démesures. Marceline , elle , veut que Suzanne soit égale a son fiancé “Dans quelques mois ta fiancée ne dépendra plus que d’elle-même” si l’homme ne dépend pas de la femme , la femme ne doit pas dépendre de l’homme . Ces femmes , mesuré , luttent pour cette égalité. Leurs plaidoyer doit donc être bien construit .
Pour être compris et accepté , l’idée doit être claire . Si l’idée n’est pas bien émise , elle ne sera pas compréhensible et donc inutile . Pour être compris , le raisonnement doit d’abord émettre l’idée . Aristophane applique ce principe : Gaillardine exprime très simplement son idée : “C’est aux mains des femmes , vous m’entendez , qu’il nous faut confier l’état . “ (l.1). L’idée est simple est aucune erreur d’interprétation n’est possible . Roxane diffuse son idée elle aussi “J’ai toujours été libre : j’ai réformé tes lois sur celles de la nature “(l.9). Le lecteur comprend immédiatement qu’elle ne s’est pas laissé assouvir . Marceline dénonce le comportement des hommes et la condition des femmes :”les séducteurs nous assiègent pendant que la misère nous poignarde”(l.5) Le fabuliste , contrairement aux autres , ne passe pas par le personnage pour transmettre son message , mais il est tout autant claire :” Le temps ramène les plaisirs”(v.4) . L’idée est claire , mais il ne suffit pas d’exprimer une idée pour qu’elle soit considérée comme vrai. Il faut la défendre . Et pour se faire , ces femmes procèdent par réfutation : cette hiérarchie n’est pas justifié . D’après Gaillardine , le comportement des hommes justifie son idée : “Elles savent mieux se conduire que nous”(L.5). Pour Roxane , la nature n’a pas dicté un tel comportement “j’ai réformé tes lois sur celles de la nature “.Les lois de la nature sont différentes que celles des hommes . Marceline dit qu’il faut punir les hommes des erreures des femmes , car c’est à cause d’eux qu’elles commettent ces fautes :”C’est vous qu’il faut punir des erreurs de notre jeunesse [...] enlever , par leur coupable négligence , tout honnête moyen de subsister”(l.9) . Les droits naturelles des femmes ne sont pas respectés . Leurs idées sont claire , ce qui permet que leurs plaidoyer soient efficace .
Un plaidoyer efficace, qui nécessite un raisonnement rigoureux, passe d’abord par une argumentation structuré . Cette rigueur s’associe à une rhétorique maîtrisé . Les quatres textes sont sensé , ils sont donc composé tout trois de rhétorique : pour Aristophane , “pour les vivres, qui de mieux qu’une mère de famille en hâterait l’acheminement ?”(l.15). Montesquieu pense que l’homme ne doit pas tout se permettre en allant contre les désirs de sa femme “pendant que tu te permet tout , tu eusses le droit d’affliger tous mes désirs ?”. (l.8)Beaumarchais remet en cause la supériorité de l’homme :”que peut opposer une enfant a tant d’ennemis
...