La condition ouvrière simone weil
Fiche : La condition ouvrière simone weil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar darksardine35 • 4 Novembre 2022 • Fiche • 6 780 Mots (28 Pages) • 723 Vues
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P 205-211
- S.W incite les ouvrier(e)s à exorciser (en écrivant un article dans le journal de l’usine) l’objet du mal être de leur quotidien en exprimant les souffrances du a leur travail a l’usine
- S.W veut que les ouvriers est la possibilité de s’exprimer librement par écris sans mettre en danger leur poste dans l’usine 🡪 Aucune liberté d’expression en tant que simple ouvrier dans une usine, on ne fait que de répondre aux ordres !!
- Travail industriel = travail accusant a chaque ouvriers de la douleur physique et moral, nous sommes seulement des machines a sous produisant des pièces sans prendre du temps a la rêverie ou encore pour nos sentiments 🡪 perte de conscience progressive => s’exprimer par l’écrit permettrai a chacun de reprendre conscience de sa dignité et de son humanité et donc se centraliser sur ses sentiments profonds
- Ne pas hésiter a parler aussi de ce qui plait a l’usine pour que dans le futur les patrons sache mener efficacement des programmes sociales efficaces pour l’épanouissement de leurs employés
- Connaitre également la solitude des ouvriers, savoir si au sein de l’usine il y a de la camaraderie mais aussi savoir si l’usine fait de son mieux pour soutenir les ouvriers
- Astuces de S.W pour ne pas savoir qui a écrit la lettre 🡪 réécrire la lettre + pas de signature et nom
- S’exprimer en toute liberté, en bonne conscience et en disant la vérité pour que les autres, a leur tour, se sentent assez à l’aise pour pouvoir parler des problèmes de leur quotidien (effet boule de neige)
- Mise en place (P 209) d’une défense des chefs en les plaçant comme des personnes qui seront réceptives aux problèmes des ouvriers mais aussi comme des personnes ne pouvant pas se placer du point de vue de ces derniers en raison des multiples problèmes auxquelles ils font face (loi du rendement)
- Les ouvriers subissent le poids du régime industriel 🡺 trouvé une organisation plus humaine et qui permettrai également aux chefs de respecter la loi du rendement
P 213 - 251 :
- L’ingénieur et le directeur technique Victor refuse la publication de l’article de S.W
- Les raisons du refus sont principalement l’action d’ « exciter l’esprit des classes »et comme quoi il est « très difficile d’élever les ouvriers »
- S.W explique qu’elle veut réduire l’effet d’humiliation qui pèse sur les ouvriers et permettre l’ouverture d’esprit car seul le sentiment d’infériorité (pauvreté, subordination, dépendance) bloque cette dernière
- Démontre à Victor qui ne connait pas l’esprit des classes car cela demande des conditions de vie effectives et donc n’appuie pas moralement les ouvriers qui ont justement besoin de ce soutient psychologique
- Pour lui les chefs ne peuvent pas se mettre a la place des ouvriers a cause des fonctions qu’ils doivent jouer dans l’entreprise
- Le refoulement perpétuel des chefs sur les ouvriers ne permet pas à ces derniers une construction saine de l’ambiance de travail, mais justement détruit toute humanité chez les employés qui se trouve en état de serviabilité envers leurs chefs => opposition marquée de deux esprits de classes 🡪 le but de cet article serait alors faire baisser cette amertume présente, de faire un pas vers les ouvriers et de montrer que leurs chez font un effort pour comprendre leur quotidien pénible
- L’esprit des classes ramènent toujours aux inégalités sociales 🡪 le but de l’article est de pouvoir casser cet esprit les temps des journées de travail
- Pendant son temps a l’usine S.W exprime sa perte de conscience et de dignité progressive qu’il la transformé en bête de somme docile, pour répondre a Victor qui lui disait que les conditions morales d’un ouvrier ne sont pas si terrible que ca
- Conserver intact son sentiment de dignité humaine est très compliqué 🡪 le but de l’expérience de S.W en usine était de se mettre réellement dans la peau d’un ouvrier sans jamais considérer cela comme une expérience
- Œuvres sociales créées une dépendance des salariés envers l’usine
- Méfiance des ouvriers envers les patrons qui les voient comme des oppresseurs ce qui n’améliore pas leurs consciences morales
- S.W exprime a Victor le traumatisme quelle a vécu lors de son travail dans les usines, traumatisme causé par l’action de subordination totale
- S.W montre a Victor qu’il est très difficile de se rendre compte de ce qui se passe en bas de l’échelle quand on se retrouve tout en dessous et seulement quand on est en bas nous pouvons nous rendre compte mais sans pouvoir agir 🡪 causes essentiels du malheur humain
- S.W est dégouter de ne pas pouvoir agir pour ses camarades travaillant dans les usines
- Tout est fait d’humiliation des chefs envers les ouvriers notamment quand il y a une plainte d’un ouvrier 🡪 les chefs font tout pour noyer le poisson
- Les chefs donne des taches aux ouvriers qui peuvent être très dangereuses voir mortelles, ce qui nous montre a quel point la vie d’un ouvrier ne vaut rien
- Les pauses, les arrivés et les sorties de l’usine sont rythmés par une sonnerie qui justement fait penser aux bêtes cloitré dans des fermes
- Si on essaye en tant qu’ouvrier de défendre ses intérêts 🡪 on ne tiendra pas longtemps à cause des multiples humiliations
- Lors des temps de guerre le courage est plus facile à un gradé qu’a un soldat car le soldat doit défendre ses intérêt plus sa vie 🡪 la même pour le monde de l’industrie et de l’usine, en étant ouvrier on accepte de se refuser a certain droit => si il fallait subir la subordination d’un esclave et les dangers d’un homme libre sa serait trop
- Humiliation 🡪 choisir entre se défiler ou se mettre ne danger
- Présence d’une force hors de proportion a laquelle on se résigne a se soumettre en se faisant mépriser par ceux qui manient cette force
- S.W avait une règle qu’elle s’imposait lors de son travail qui était que dans son rapport humain elle traiterai toujours d’égale en égale même envers ses chefs 🡪 elle remarque justement que ce silence dans les rapports humains dans l’usine est flagrant (il se laisse faire)
- S.W proposait donc une boite de suggestion pour le bien être des ouvriers et non la production 🡪 éviter l’humiliation
- Elle en tire deux leçons :
- L’oppression na pas tendance a la révolte mais a la soumission
- Les gens sont divisés en deux catégories
- Les gens qui comptent pour quelque chose
- Et les gens qui comptent pour rien 🡪 quand on est dans cette catégorie on arrive à trouver ca naturelle
- S.W nous dit aussi que pour avoir des améliorations il faut que le souffrance vécu par les ouvriers doit été partager par des personnes qui ne vivent pas cette souffrance (chefs) et donc par analogie les comprendre 🡪 cela va permettre d’éveiller intellectuellement les ouvriers
- Se pose la question ; comment réveiller les sentiments de qql’un qui est bousculé par l’asservissement social => passer par le sentiment même de cet asservissement 🡪 il existe deux espèces d’ouvriers qui s’instruisent tout seul :
- Ceux désireux de monter en grade
- Er ceux désireux de révolte
- Comparaison entre le rapport des droits entre ouvriers et chefs et l’événement de la Fronde ou justement le parlement est accusé pendant cette période d’avoir révéler les rapports entre les droits des rois et ceux du peuple 🡪 si un événement similaire refais surface, cependant dans l’industrie et les métiers de l’usine, il ne faut pas le faire a moitié sinon cela pourrait être encore pire que maintenant et montrer que les ouvriers n’ont pas de valeurs
- Les chefs craignent le changement de rapport de force :
- Le retour d’une prospérité économique
- Mouvement révolutionnaire
- Reparle de la publication e l’article dans le journal entre nous, en disant qu’on peut faire ca étape par étape et qu’à tout moment on peut l’arrêter seulement victor et les chefs prendraient un trop grand risque
- Pour elle l’article est un « coup de sonde » permettant de tâter le terrain
- Comparaison : les murs d’une chambre même vide n’est pas désagréable a regarder par contre mais si la chambre est une cellule alors chaque coup d’œil devient une souffrance => la pauvreté quand elle est vécue avec une subordination et par l’esclavage au travail alors cela est la vraie souffrance 🡪 on ne souffre pas a cause de la pauvreté mais a cause de l’esclavage subit (l’argent fait pas le bonheur)
- Comparaison entre les ressources des esclaves stoïciens et des ouvriers pauvre => le courage et l’indifférence aux privations et aux souffrances 🡪 cependant c’est une ressource interdite aux esclaves de l’industrie modernes (gagner des sous + la peur de la cadence de travail), exigence de la production industrielle, comment régler de problème 🡺 faire comprendre a ces gens qu’on les comprend et donc leur apporter du réconfort d’où la nécessité de publier l’article
- S.W comprends le refus de Victor qui est la publication de l’article
- S.W espère une amélioration au niveau de l’inégalité des rapports de force mais sans avoir grand espoir 🡪 elle ne croit pas en la révolution (les ouvriers obéirons aussi longtemps que la production sera fondée sur l’obéissance passive) 🡺 rapport de force sont inégales (raison de pk la révolution marchera pas)
- Deux facteurs qui font qu’on surnomme des groupements politiques (fascisme, …) :
- La subordination et la dépendance impliquées par les formes moderne de la technique et de l’organisation économique
- La guerre
- La réflexion de S.W sur les usines (indépendamment du régime politique) est celle du passage entre la subordination totale et le subordination ajouté a une coopération
- Victor prend l’article pour une incitation à la révolte
- S.W fait comprendre a Victor que on pouvoir en tant que « chefs » est un pouvoir se rapprochant a celui de dieu pour un ouvrier, car si il en vire un l’ouvrier perd bcp en l’amenant a une déchéance sans fond et si il ne trouve pas d’autre travail à la mort
- Les ouvriers ne contrôlent pas leur vie a l’extérieur de l’usine car c’est les chefs de l’usine qui sen occupe (coopérative, …)
- Pas de récompense morale des ouvriers que ca soit de leurs chefs ou d’eux mêmes 🡪 dépression morale
- Une ouvrières est dans la hiérarchie de l’usine doublement inférieure car déjà sa dignité est blessée par les chefs et par les ouvriers car c’est une femme
- Il y a des inégalités naturelle 🡪 l’organisation sociale est bonne car elle tend a les atténuer mais mauvaise car elle tend à les aggraver
- S.W met en place un projet dans l’usine avec l’accord de victor 🡪 investigué l’usine de la Rosière
- S.W dénonce la façon dont on choisie les ouvriers à renvoyer lorsque que l’usine met en place une rééducation du personnel (car cela est contraire a la dignité humaine) 🡪 il faut se mettre a la place des ouvriers avec femme et enfants (sentiment de peur, la vie ne tient qua un fil 🡪 la simple décision d’une personne) 🡺 S.W propose des solutions (avantages moraux) tel que les charges familiales, ancienneté, rien ne doit être arbitraire, tout doit être réfléchis et raisonné pour protéger au max les ouvriers
- La subordination n’est pas que l’acte d’obéir mais aussi celui de ne pas déplaire 🡪 les deux en mêmes temps = dur à supporter
- D’après S.W le chefs doit, même avec subordination, donner a l’ouvrier des taches de confiance où règne justement une confiance mutuelle qui redonne les vertus du courage, de la volonté, … a l’ouvrier qui ces vertus définissent la valeur humaine
- Promulguer auprès des ouvriers de la poésie grecque (poésie proche du peuple par rapport a la littérature française) pour mettre en place une culture g et faire leurs esprits
- Se limite dans ses écrits grecs car elle a peur que ces textes ne passent pas a cause de la censure présente au cœur de l’usine 🡪 l’écriture ne peut pas se limiter a des contradictions
- S.W va visiter l’usine où Victor est le directeur, elle exprime sa réticence au fait de visiter les logements des ouvriers car ayant peur de les blesser elle préfère se contenir a l’usine te ses infrastructures
- Il y a une mise en place de mouvements grévistes, première fois que les chefs se plient aux exigences des ouvriers, S.W est ravis (ravis aussi que les patrons aient subis une humiliation) seulement elle se demande vers quelle régime politique la victoire ouvrière va tendre : totalitaire (fasciste, communiste) ou non totalitaire
P 252 – 255
- S.W discute du livre de Laffite et exprime ses réticences face à ce dernier :
- Un langage vague 🡪 choquant e la part d’un ingénieur
- Pas de rapport entre les vues sociales et mécano logiques
- Analogie entre l’étude des machines et celle des êtres vivants => pas d’intérêt
- Pas de rapport entre les machines et l’humanité
- Les defs manquent de précision
- S.W exprime également son envie d’aller travailler dans les fermes pour engendrer de l’expérience dans les métiers ingrats tuant ce qui y travaille a petit feu 🡪 il n’existe pas que les villes et les usines
P 257 – 263 : discussion par lettre avec Laffite
- P 258 :
- Laffite fait apparaitre une méthode d’analyse sociale où il prend seulement en compte les rapport sans commencer par faire rentrer l’individu en ligne de compte
- Laffite a une conception bien particulière des suites et des séries en ayant une vision dégradante de l’ouvrier (vision du machinisme moderne) où les suites, conceptualisées par des intellectuelles, ingénieurs, sont une fois réalisées installé dans des machines sans dignité et conscience qui permettrons ensuite a l’ouvrier d’effectuer ses séries jusqu’à l’épuisement
- Si, justement, le travail mécanique respectera l’homme et sa dignité, alors les séries seraient admises aux machines et les suites seraient le monopole de l’ouvrier et de l’homme
- P 259 :
- D’après S.W, en s’inspirant de la vision de Laffite, il faudrait alors mettre en place une économie décentralisée où les bagnes industriels seraient remplacés par des ateliers où on trouvera des machine souple (multifonction) et autonome (machine « reflexe » d’après la vision de Laffite) où des ouvriers qualifiés s’occuperaient du réglage des machines et dons où les ouvriers et les ingénieurs ne feraient qu’un
- P 260 : S.W repond positivement a la proposition de rencontre de Laffite
- P 261 :
- Laffite dit a S.W qu’il aimerait bien s’exprimer au public, elle réplique en disant qu’elle le trouve bien optimiste car aujourd’hui d’après elle il n’existe plus de public dit « éclairé », que des spécialiste avec une culture étroitement limité et des gens sans culture, il serait facile donc d’après elle de faire passionner une thèse a un public si elle n’admet pas de réflexion
- S.W espère qu’il existe encore dans ce monde des hommes supérieurs qu’elle définit comme des personnes ayant réussi a dépasser la culture qu’ils ont reçu
P 264 – 274 : Histoire de la grève d’après son expérience personnelle
- P 266 :
- Pas le droit a la rêverie et de penser pour pouvoir tenir une cadence infernale
- Le repas du midi n’est pas un moment de détente car cela demande de l’énergie, de l’argent et rajoute de l’angoisse supplémentaire car se pointer avec une minute de retard équivaut a perdre une heure de son salaire
- Les contremaitres veulent toujours augmenter la cadence sous peine de renvoie
- P 269 :
- Les renvois ne sont jamais justifiés sous peine, si on demande une explication, d’être une nouvelle fois humilié
- Lors de l’hiver les vestiaires en sont pas réchauffer et après avoir passé toute une journée devant des fours les ouvriers doivent se laver les mains dans ces vestiaires => souffrance inutile, souffrance qui est fait dans le silence car personne n’ose rien dire, ce qui amène à une nouvelle humiliation
- Certains ouvriers ont tellement besoin de sous pour survivre qu’ils font travailler leurs enfants souvent très jeunes (9 ans)
- D’autres ouvriers ont subis la mort de leur propre enfant (jamais de consolation ni de jours de pauses de la part des patrons) et vois dans certains cas cela comme une bonne chose car ne veulent pas que leurs progénitures subissent la vie qu’ils supportent au quotidien
- La faim, du a la paie qui est maigre et au travail qui est dur, amène souvent aux maladies qui est directement rédhibitoire dans les usines car ci on ne peut pas se présenter pour travailler on est presque instantanément renvoyer même avec des raisons valables
- P 270 :
- La question de l’argent gagné par heure est une question qui obstine l’ouvrier, souvent la paie est fait arbitrairement
- Si les ouvriers manquent de nourriture alors ils ne seront plus aussi performant a l’usine, donc gagneront moins (paie compter aux nombres pièces produits a l’heure) et auront encore plus de mal pour se nourrir => cercle vicieux
- Si tu ne peux pas produire, tu n’as pas le droit de vivre (à 40 ans on est compté comme incapable de produire)
P 274 – 281 : les sentiments pendant la grève // P 278 – 281 : les revendications
- P 274- 275 :
- Les bourgeois « intelligents » pensaient que la grève avait été provoquée par les communistes pour gêner le gouvernement
- Les ouvriers « intelligents » pensaient que c’était justement les patrons qui avaient provoqués la grève pour pouvoir gêner ce même gouvernement
- Comment est ce que ca s’est passé :
- Facteur décisif : le gouvernement du front populaire (mise ne place d’un gouvernement socialiste) 🡪 droit de faire la grève sans avoir l’intervention de la police et des gardes mobiles (sachant que les usines de mécaniques travaillent et dépendent toutes de l’état)
- Cette grève poussée par les ouvriers montre que ces derniers s’occupent eux-mêmes de leurs affaires sans les laisser au gouvernement
- Les éléments ayant déterminés la grève :
- Le public, les patrons et Leon Blum sont étrangers à cette vie d’esclave
- Avoir toujours subit, plier et tout encaisser en silence et enfin oser se redresser
- Le fait d’enfin prendre la parole et exprimer son avis
- Se sentir pour une fois compter parmi les hommes
- Ne plus se senti faible face aux patrons
- Même si les ouvriers savent que leur vie d’avant, une vie faite de souffrance, va reprendre après la guerre ils profitent de chaque moment, ils sont comme les soldats en permission pendant la guerre
- P 278 - 279 :
- Les ouvriers font la grève, mais laissent les militants le soin d’étudier les détails des revendications 🡪 ce n’est pas en quelques jours que s’en va le pli de la passsivité contracté pendant des années
- Ce mouvement d’après S.W pose de graves problèmes entre les revendications matérielles et morales => est ce que les salaires réclamés dépassent les possibilités des entreprises ?
- Est-ce qu’il va y avoir une nationalisation de l’économie progressive après les revendications des ouvriers, à une évolution vers l’économie d’état et le pouvoir totalitaire
- Une recrudescence du chômage ?
- Les ouvriers seront-ils obligés une nouvelle fois de plus sous la contraintes des nécessités économique de baisser la tête ?
- Dans tout ces cas pour S.W ce beau mouvement aurait une triste issue
- S.W pense qu’il y a une autre possibilité qui serait de créer le premier embryon d’un contrôle ouvrier, ce qui comprends donc d’établir une commission de contrôle des comptes constituer d’ouvriers, un représentant du syndicat et un technicien appartenant a une organisation ouvrière
- Tout cela permettrai d’avoir un changement des rapports des forces notamment si il y une mise en place de clauses de contrats
- P 280 – 281 :
- Les nouvelles conditions de salaires se répercutent sur la vie de l’atelier :
- Est-ce que la grève va permettre une diminution des inégalités entre les catégories ?
- Supprimer les inégalités entre les catégories permettrait d’aller dans le sens de l’amélioration des rapports entre individus
- Les rapports conflictuels dans une usine amène souvent à la solitude, qui est causée par l’obstacle qu’apportent aux rapports de camaraderie de petites inégalités
- La grève doit abolir ces inégalités car dans les usines il n’y a pas de camaraderie a cause de l’inégalité entre els catégories de travailleurs (salaire, condition de vie, …)
P 282 – 301 : S.W propose à Auguste Detoeuf de travailler dans son usine afin de pouvoir collaborer avec ce dernier pour mettre en place de nouvelle reforme // P 291 – 295 : Deux patrons parlent des nouvelles lois qui vont êtres misent en place dû à la grève // P 295 – 301 : Réponse de Detoeuf sur la discussion des deux patrons = nouvelles visions des choses et justifie l’état d’esprit des patrons
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