La bioéthique

Agir moralement et adopter les règles d’une vie vertueuse est un acte pur et désintéressé. Or, dès qu’il s’agit des besoins de l’homme, de ses manques, désirs et de l’envie dévastatrice du pouvoir ; ces derniers tendent à devenir des pulsions immorales et font l’objet d’un moteur d’une dérogation des normes surtout dans une ère devenue favorable au désengagement religieux.

En fait, beaucoup adoptent un point de vue péjoratif à l’égard de la bioéthique, qui, selon eux, présente une limitation à l’évolution, au combat contre la souffrance (physiques ou mentales ex :euthanasie), contre les manques (génésiques ) et les impuissances.

De plus, à citer les industries et les financeurs de recherches scientifique qui visent à réaliser des profits, au plus vite at avec le minimum de contrôle.

Cependant, et selon moi, la puissance scientifique peut détruire autant que construire ; asservir autant que libérer alors que l’éthique prend en compte la croyance, la foi et autrui surtout lorsqu’il s’agit de profits réalisés au détriment des plus vulnérables.

Malheureusement, certains médecins assènent le diagnostic avec une brutalité inouïe : le patient apprend sa maladie devant une arène de stagiaires qui écoutent leur patron sans même prêter attention à la situation précaire dans lequel le malade se trouve. D’autres, avaient recours à l’acharnement émotionnel : sous prétexte que le patient avait droit de tout savoir, ils le privent de toute lueur d’espoir en leur révélant tout d’un coup le diagnostic, les traitements longs et douloureux et le sort possiblement létal sans penser à suivre le rythme du patient.

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