La Dame aux Camélias a été écrite par Alexandre Dumas fils en 1848
Commentaire d'oeuvre : La Dame aux Camélias a été écrite par Alexandre Dumas fils en 1848. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar byogame • 8 Mai 2022 • Commentaire d'oeuvre • 1 761 Mots (8 Pages) • 432 Vues
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kyllian
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La Dame aux Camélias a été écrite par Alexandre Dumas fils en 1848 au XIXème siècle sous la Restauration. Ce roman appartient au mouvement littéraire du romantisme. L’auteur fait beaucoup d’allusions à la religion chrétienne dont le retour caractérise le mouvement du romantisme. Le titre de cette œuvre, « La Dame aux Camélias », se réfère à l’héroïne de ce roman qu'est Marguerite Gautier. Le chapitre 15 du roman constitue le passage étudier ; et plus particulièrement la déclaration d’un homme amoureux de Marguerite sous forme de lettre.
Du fait de sa lecture nous pouvons nous demander ; Comment l’auteur de cette confession l’utilise comme une valorisation envers Marguerite ?
Pour répondre cette question nous allons voir dans un premier temps comment cet homme utilise les pronoms pour appuyer sur le lien entre les 2 personnages. Puis dans un second temps nous verrons comment il montre à la personne visée de la lettre que seul elle l’intéresse en rabaissant toutes les autres femmes au profit de Marguerite.
Tous au long de cette confession, l’auteur use de plusieurs pronoms personnels tel que le « nous » « elles » et le « je » pour insister et bien entouré les différent thèmes et moment qu’il évoque.
Dès le début du texte l’auteur utilise les pronoms personnels « nous » et « elles » pour faire une généralité autour des hommes mais aussi des femmes de son entourage sociale. La phrase « Nous ne nous appartenons plus. » qui signifie que l’homme au masculin n’est plus réellement la personne qu’il doit être et vient se compléter avec la phrase qui la suit « Nous ne sommes plus des êtres, mais des choses » puisque on personnifie un objet sans le désigner pour montrer que se sont « les premières dans leur amour-propre, les dernières dans leur estime » auprès des femmes et que se sont-elles qui les manipule sans problèmes car elle dit qu’à leur yeux les hommes ne sont que des outils pour avoir accès à toute sort de choses comme « des robes ou un bracelet » peu importe la situation de l’homme tant qu’elles arrivent à leur fin.
La phrase « Nous ne pouvons donc avoir, ou plutôt je ne pouvais donc avoir qu’un bonheur » signifie qu’il se voit dans cette situation qui lui est bien unique et où il n’arrive pas à se refléter auprès d’autre hommes, même s’il voit que ces situations peuvent faire l’œuvre d’une généralité.
Dans la deuxième partie de l’œuvre le poète utilise les pronoms « je » pour se recentre sur sa personne et « tu » pour évoquer une femme différente de ce qu’il a décrit au paravent sans utiliser le « nous » de l’union.
La premier phrase où est utiliser le « je » est pour mettre en conteste cette personne et plus particulièrement le malheur de cette homme, on peut le voir avec la phrase « c’était, triste comme je le suis quelquefois, souffrante comme je le suis toujours » où l’on voit bien la détresse de cette homme qui cherche à se comparer au autre homme pour pouvoir « trouver un homme assez supérieur pour ne pas me demander compte de ma vie, et pour être l’amant de mes impressions bien plus que de mon corps. » et donc essayer de satisfaire son manque de valeur.
Il pensait donc avoir trouvée quelqu’un à qui se comparer et se valorisé mais cette personne c’est le duc qui malheureusement est vieux et donc il a du mal à pouvoir réellement se mesurer à lui car « la vieillesse ne protège ni ne console ». Il continua à faire l’éloge de triste vie jusqu’au moment où un nouveau personnage fait son entrée puisque l’auteur de ces paroles parle de quelqu’un qui a une vie complètement différente et même presque parfait comparé à l’homme qui parle précédemment.
Car dès le début du nouveau paragraphe, il dit « Alors, je t’ai rencontré, toi, jeune, ardent, heureux » on voit bien cette énumération qui mets bien en valeur cette homme qui a une vie complètement différente de celle de l’homme évoqué.
Dans ce paragraphe on voit une personne qui décrit méliorativement cette personne comme on peut le voir grâce à cette énumération mais on voit aussi que cette personne vient en aide à cet homme et la soutien comme avec cette phrase « j’ai essayé de faire de toi l’homme que j’avais appelé au milieu de ma bruyante solitude » ou celle-ci « Ce que j’aimais en toi, ce n’était pas l’homme qui était, mais celui qui devait être ».
puis dans le dernier paragraphe de la lettre, l’auteur s’ abandonne à sa destinataire en la laissant « fais de moi tout ce que tu voudras » et en la laissant l’utiliser comme un esclave ou un chien en ne demandant qu’une faveur : « déchire la lettre que je t’ai écrite et ne me laisse pas partir demain ; j’en mourrais. » car on voir bien qu’il est complètement déchiré et que seul cette personne peut le garder en vie car même si on ne peut mourir d’un sentiment on peut complètement changer et divaguer .
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