La Belle et la Bête, 1757, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, « Le soir comme elle allait se mettre à table... »
Commentaire de texte : La Belle et la Bête, 1757, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, « Le soir comme elle allait se mettre à table... ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pierre Loiseau • 15 Juin 2019 • Commentaire de texte • 928 Mots (4 Pages) • 1 125 Vues
La Belle et la Bête, 1757, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, « Le soir comme elle allait se mettre à table... »
Introduction :
Au 18eme siècle, les lumières étaient le principal mouvement européen, fondé sur la raison et luttant contre l'ignorance, l'esclavage et l'asbsolutolisme, les auteurs comme Voltaire, Rousseau, Diderot ou encore Montesquieu publiaient des encyclopédies, des essais et des comtes phylosophiques. Madame Leprince de Beaumont était chargée de l'éducation des enfants de nobles, en 1757 elle publie un ouvrage composé de compte de fée mélant leçons de géographie et de sciences naturelles. En effet, c'est d'abord dans un butr pédagogique qu'elle écrit les comtes. Cela peut être comparé à un apologue puisqu'il permet de faire passer les idées par une fictionL La Belle est la Bête est ainsi une leçon de vie pour les jeunes filles avec comme objectif de leur apprendre ce qui est important de trouver chez un mari.
Prob : Coment se passage invite t-il à réfélchir sur l'importance des qualités morales ?
I un récit qui relève de l'argumentation directe
En effet l'auteur utilise ici des personnages de fiction pour illustrer son argumentation
A Personnages stéréotypés
Les personnages sont ici stéréotypés d'abord par le prénom, en effet leurs caractéristiquent sont réduites à l'essentiel. Leurs principales attribus, l'adjectif qu'ils renvoient, sont substantanés. On peut remarquer un parrallélisme entre les deux prénoms. De plus la Bête a peu d'estime d'elle, n'a pas une intelligence exceptionelle tendis que la Belle est rayonnante, intelligente avec une morale d'exeption. « je suis laid, je n'ai point d'esprit »l.8 « je ne sais pas mentir »l.7
B Une morale sous-jacente
Le physique au fil de l'extrait s'efface par rapport au moral. Le dialogue des personnages fait comprendre que le physique ne doit pas être primordial qu'il faut s'attacher aux qualités morales pour rouver un époux.
De plus, certaines certains phrases de la Belle apparaissent être des maximes, des morales explicites nottament avec le présent de vérité général :« On est pas bête, reprit la Belle, quand on croit avoir point d'esprit » l.10, le pronom indéfini « On » montre un généralisme ainsi que la tournure de phrase 'Il y a bien des hommes » l.16 De plus elle accorde au fur et à mesure de l'amour pour la bonté du monstre petit à petit qui montre la morale que l'auteure soujaite donnée à ce texte.
II Un cadre romantique
A le cadre
ici la scène reprend les clichés romantiques, en effet le cadre le soir, en face à face avec une repas éclairé à la chandelle. De plus, La Bête se présente comme un gentleman en effet pour lui dans ce château « il n'y a de maîtresse que de vous »l.4 Les nombreux compliments renforcent cette idée « l.7 « vous
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