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L'école des femmes de Molière

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Par   •  6 Novembre 2021  •  Résumé  •  673 Mots (3 Pages)  •  382 Vues

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Daguenet Clovis 2nd1

Commentaire de texte

Le dramaturge français, Jean Batiste Poquelin plus connu sous le nom de Molière. Est baptiser le 15 janvier 1622 à Paris. Puis il y est mort en 1673. Il choque tout le monde avec sa nouvelle comédie l’école des femmes. C’est une comédie or norme, qui dénonce le non droit des femmes au XVème siècl . Il écrit cette pièce pendant la période du classicisme. Elle sera a l’origine de nombreuses critiques, don Molière y répondra par une pièce d’un seul acte nommé l’école des critiques. Le sujet de cette comédie n’est pas neuf pourtant, cela compte l’histoire, d’un homme d’âge avancé qui par crainte d’être cocu, fait élever une jeune fille, Agnès, selon ses principes et ses gouts. A travers cette pièce, Molière pose la question de la place des femmes dans la société et de leur éducation au XVème siècle.

Dans cette acte V scène 4 que nous allons étudier le retournement de situation entre Arnolphe et Agnès. Dans cette scène le dénouement approche : Arnolphe a compris dont était capable Agnès, la douce « idiote » en venant de lui dire que « le blondin » lui en appris beaucoup plus que lui : mais tout à l’obstination de sons projet, il persiste dans sa volonté de séduire sa pupille.

Arnolphe s’adresse à Agnès dans une volonté de séduire. Qui succède à une violente attaque contre ses semblables, Arnolphe se met en situation  délicate : la dénomination « petite traîtresse » n’a rien de flatteur, puis l’annonce du pardon suivi de l’ordre « en revanche, aime me-moi » montre le caractère odieux du personnage et prête a sourire, chacun sachant que le sentiment amoureux ne se commande pas !

              Dans la longue tirade qui suit, Arnolphe tente donc une scène de déclaration d’amoureuse qui tourne très vite à la parodie, et le décrédibilise définitivement, tant aux yeux d’Agnès qu’a ceux des spectateurs.

Les paroles outrées et satisfaites des premiers vers qu’on imagine interprétées de manière caricaturale, prêtent à rire, d’autant que même dans cette situation, le personnage ne peut s’empêcher de donner des ordres, ni d’établir une comparaison avec son rival qu’il traite de « morveux », insulte peu habile si l’on considère l’amour qu’Agnès porte à Horace.

             

Ensuite, Arnolphe passe aux promesse, utilisant une série de verbes au future qui sont faits pour permettre à la jeune fille d’envisager l’avenir radieux : l’affirmation du vers 1591 relève de la pure vantardise « Et tu seras cent fois plus heureuse avec moi. » Mais le détail de ses future manifestation de tendresses ne peuvent que susciter un dégoût  amusée, étant donnée le jeunesse de la future mariée et le grand âge du prétendent. L’énumération  « je te caresserai »  « Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai » du vers 1594 relève presque du « harcèlement sexuel »  vue la précision qui précède « Sans cesse, nuit et jour… » du vers 1594. Le bref aparté montre aussi le désarroi du personnage «  Jusqu’où la passion peut-elle faire aller ! » prêt à tout (y compris la promesse de liberté) pour arriver a son but.

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