Fiche oral fr la peste
Fiche : Fiche oral fr la peste. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar manylie • 10 Mai 2020 • Fiche • 1 178 Mots (5 Pages) • 547 Vues
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I un incipit « classique » = Les 1er pages du roman semblent être écrite comme une « exposition » pour faire connaître au lecteur le moment, le lieu , les pass et le sujet de l’action . | |
a) le cadre temporelle
- les 4 saisons sont situées ds le texte,printemps à l’hiver cela annonce la trame temporelle du récit tout entier qui commence le 16 avril et se termine en février | b) le cadre spatial
- aspect esthétique : « ville laide » - activité : ville tranquille - environnement « lieu neutre »
- le printemps est vendu sur les marchés ds des corbeille
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c) les personnages
=> population marquée par la routine et le conformisme => une révolte contre nature : « comment faire imaginer par exc, une ville sans pigeons, sans arbre, et sans jardin ou on rencontre ni battement d’ailes, ni froissement de feuilles » => seul le rythme des saisons entretient le liens entre la ville et la nature | d) L’action
chronique : c’est un recueil de fait historique, rapportés ds l’ordre de leur succession. >>> cet incipit est donc classique d’apparence même sil promet l’extraordinaire au milieu de la banalité, d’autre part cet incipit surprend par le choix d’un narrateur au statut incertain |
II Le statue du narrateur= Tout est fait pour qu’on ne sache pas immédiatement qui raconte cela créer une attente chez le lecteur | |
a) un témoin :
- le récit distingue donc des exigence habituelle de la « chronique » = refus de la datations précise
| b) Un regard critique
- s’exerce dès le 1er paragraphe au dépeint de la ville et de ses habitants lorsqu’il dit que ce n’est « rien de plus qu’une préfecture » - l’ironie sur le point syntaxe : « nos concitoyens travaille bcp ms toujours pour s’enrichir »
-le narrateur se moque de ces gens qui ne pensent qu’à s’enrichir au lieu de profiter de la vie le narrateur fait semblant d’approuver ce mode de vie
-l’emploie du mot « vices », très fort sur le plan moral, recouvre en fait des activités très banales pr des jeunes. S’y associe le groupe verbale négatif « ne dépassent pas » qui souligne la médiocrité de cette existence - l’expression méprisant « tout cela » montre que les habitants d’Oran ne savent pas reconnaître ce qui est essentiel. - les 2 adjectif qualificatif « frénétique » et « absent » insistent sur la routine mécanique et l’ennuie pesant >>> témoin privilégié, le narrateur , pars sa subjectivité , offre un pt de vue critique sur Oran qui peut apparaître comme bien plus qu’une « préfecture » |
III La fonction symbolique de la représentation d’Oran = La ville d’oran est décrite de manière péjorative , refusent tout pittoresque , et rend le lecteur suspicieux. Elle paraît représenter symboliquement le monde moderne et annoncer la catastrophe à venir | |
Remarque : la peste s’ouvre sur une citation placée en exergue : « il est aussi raisonnable de représenter une espèce d’emprisonnement par une autre que représentation n’importe quelle chose qui existe réellement par quelque chose qui n’existe pas » Cette épigraphe, emprunté au journal de l’ années de la peste de l’écrivain anglais Daniel Defoe indique au lecteur que le récit qu’il va découvrir est la transcription symbolique d’événements réels.(sujet d’oppression) | a) l’aspect banal et commun de la ville
- « une vile ordinaire », « une préfecture » ; emploi de l’article indéfini insiste sur la banalité d’Oran - L’usage de présent de vérité générale sous-entend que ce qui s’y passe se déroule partout dans le monde
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b) Des habitants représentatif de la conditions humaine
- ils ne se posent pas de questions/ils mènent une vie banal - ils évitent tout motif d’inquiétude et tout remise en question en planifiant à outrance
| c) la prise de conscience du lecteur l’ironie du narrateur n’a pas pour principale l’objectif de critiquer les Oranais, qui sont d’ailleurs représentatifs de la conditions humaine, il s’agit d’obliger le lecteur à prendre conscience de sa propre condition. Si le texte s’ouvre sur une neutralité indéfinie « on », rapidement, le voisinage entre « nous » renvoie au narrateur et a ses concitoyens mais aussi au lecteur => cette implication progressive du lecteur dans le récit témoigne d’une volonté de retourner le miroir : chacun peut voir dans la présentations des oranais une caricature de sa propre existence |
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