Dom juan, Molière, acte V scène 2
Commentaire de texte : Dom juan, Molière, acte V scène 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar maiza21 • 28 Juin 2022 • Commentaire de texte • 506 Mots (3 Pages) • 500 Vues
Don juan, Molière, acte 5 scène 2
Intro :
La comédie sociale exclue la sincériter, elle dissimule l’être sous le paraître. Don Juan est menacer de toutes pars. Il décide de ce faire faux devots.
Dans cette scène nous pouvont analyser comment Dom Juan fait-il un éloge paradoxal de l’hypocrisie?
La scène peu être diviser en deux partie, tout d’abord Dom Juan expose ses principes, puis ensuite nous pouvont analyser la mise en pratique de ses préceptes.
Lecture
La demonstration de Dom Juan repose sur un syllogisme inversé puisqu’il commence par la conclusion. On considère que «tous les vices à la mode sont des vertus».
On remarque le champ lexical du théâtre avec «personnage en répétition »
L’hypocrisie est l’art de l’imposture qui est toujours respectée, et quoiqu’on la découvre, on n’ose rien dire contre elle.C’est une éloge du théâtre.
Dans la phrase «l’hypocrisie est un vice privilégié, qui de sa main, ferme la bouche à tout le monde »
La personnification met en évidence l’aphorisme.
Quand il dit «On lie, à force de grimaces, une société étroite avec tous les gens du parti», Don juan assène des vérités invérifiables, on remarque l’emploi des tournures impersonnelles : il y aurait une conjuration des hypocrites.
Les termes « agir de bonne foi et véritablement touchés, évoquent une certaine innocence, qui apparaît comme un handicap face à l’hypocrisie. La vertu ne peut pas lutter contre les grimaciers, les singes, ce sont des termes qui renvoient au masque de l’hypocrite.
Quand Don Juan s’interoge, nous faisons face à une question rétorique qui donne l’illusion d’un dialogue, on retrouve encore l’emploi d’un pronom impersonnel qui place le débat dans l’imprécision, le flou…
L’énumeration des « jeux de scène » de l’hypocrite-comédien par Don Juan nous montre que l’hypocrisie est toujours vainqueur.
Dans la deuxieme parti, Molière commence par employer le champ lexical de la sécurité, pour montrer que Dom Juan a toute confiance dans les effets de ses principes.
Quand il prononce « mes douces habitudes et je me divertirai», nous pouvons comprendre dans cette euphemism du libertinage que Don Juan ne cherche pas à s’amender, pas plus qu’à se réformer.
Dans la phrase suivante le terme «capable renvoie au monde du théâtre et rappelle des faux témoins.
Devant les menaces de la societe, don Juan se place sous la protection des hpocrites
L’égocentrisme de Don Juan explose quand il dit «tout ce que je voudrai, «que de moi», qui touche à la mégalomanie. Ce qui nous renvoie un sentiment de puissance.
Le champs lexical du religieux avec « des intérêts du Ciel», «impiété et damneront associé à celui de la violence verbale accuserai, déchaîner, crieront et accableront nous montre que la vérité et l’innocence sont dévoyées.
Conclusion :
Don juan revendique ouvertement l’exercie de l’hypocrisie et se révèle de plus en plus méchant, cynique et détestable. L’hypocrisie devient dans cette scène la plus lourde des fautes du seducteur. La confidence de Dom Juan travesti en parfait hypocrite offre à Molière l’occasion d’une violente satire des mœurs et de la fausse dévotion, et règle ainsi ses comptes avec les dévots qui ont fait interdire sa piéce Tartuffe
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