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Corpus et dissertation de français

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Par   •  5 Février 2018  •  Dissertation  •  1 873 Mots (8 Pages)  •  2 276 Vues

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Devoir type bac

Question de corpus :

Ce corpus ce compose de trois textes de siècles et de contextes différents. L’un a été écrit par Blaise Pascal paru en 1670: Pensées. Blaise Pascal était un mathématicien français. Il se consacre à la réflexion philosophique à l’âge de 31 ans, il décède 8 ans plus tard à cause de violentes migraines. Le second extrait de texte que nous allons étudier dans ce corpus est Encyclopédie écrit par plusieurs philosophes dont Denis Diderot de 1751 à 1772. Denis Diderot est un écrivain philosophe des lumières. Le troisième et dernier extrait de texte de ce corpus est L’Espèce humaine écrit par Robert Antelme en 1947. Quelles caractéristiques contradictoires se retrouvent chez l’homme ? Pour répondre à cette question, nous nous attarderons d’abord sur la pensée de l’homme, Nous nous intéresserons pour finir à l’Homme et aux êtres vivants.

Pourquoi la pensée de l’homme est-elle essentiel ? Pour répondre à cette question nous verrons d’abord l’importance de penser, pour finir nous étudierons le côté malheureux de la pensée. Dans le texte de Blaise Pascal, il dit que « Je ne puis concevoir un homme sans pensée », il nous fait donc comprendre que pour lui, un homme est défini par sa capacité à penser. Ce n’ai pas son anatomie « je puis bien concevoir un homme sans main, pieds, tête » mais sa pensée qui permet de le caractériser. Pour Blaise Pascal, si l’homme ne pense plus, « ce serait une pierre ». La pensée joue donc l’un des rôles les plus importants chez l’homme, celui de se distinguer des autres êtres vivants. Et même de se différencier des autres hommes car c’est bien la pensée qui nous rend unique, car nous avons les même caractéristiques physiques mais chacun une pensée personnelle « tout notre dignité consiste donc en la pensée. ». Dans l’encyclopédie la pensée est au cœur de notre supériorité « On ne peut qu’être frappé de cet avantage lorsqu’on regarde les travaux immenses de l’homme ». C’est grâce à notre capacité de penser que nous avons autant évoluer, que l’on a pu accomplir de tels travaux artistiques et scientifiques. La pensée est donc primordiale pour notre évolution.

La pensée n’est pas seulement bénéfique pour nous. La pensée et l’évolution nous ont également changé, Dans l’extrait de L’encyclopédie, il est clairement dit que la pensée n’ait pas seulement positive « un mélange de bons et de mauvais principe ». La pensée nous fait ressentir « de l’orgueil, de la superstition et de la crainte » ce qui « produit des systèmes ». Dans le texte de Blaise Pascal, la pensée nous fait découvrir la misère, nous montre que nous sommes misérables et que contrairement à un arbre qui ne pense pas, nous savons que nous sommes misérables. Penser peut donc nous rendre malheureux car en pensant, on peut se rendre compte de la misère dans laquelle nous vivons, en pensant nous savons que nous allons mourir, que notre vie n’as qu’une seul fin possible. Mais de penser à cela, nous savons que nous devons profiter de l’instant et que peu importe ce qui arrive dans notre misérable vie, il faut en profiter « il nous faut relever et non de l’espace et de la durée ».

Pourquoi l’homme est-il considérer supérieur aux êtres vivants ? Pour répondre à cette question nous verrons les ressemblances entre l’homme et les êtres vivants. En second temps nous verrons les différences entre l’homme et les êtres vivants. Robert Antelme lance directement son texte L’espèce humaine avec une comparaison « nous sommes au point de ressembler à tout ce qui se bat pour manger », ici il nous compare à l’espèce animal et à son seul but, survivre, c’est le but de tout être vivant, étant définis comme l’espèce dominante, tout en haut de la chaîne alimentaire, l’espèce la plus intelligente doté de pensée, Robert Antelme nous rappelle qu’il ne faut pas oublier que nous sommes tous des êtres vivants qui cherche juste une chose, survivre.

Dans l’extrait de l’Encyclopédie dès le début on nous confronte au « bêtes », il est dit qu’en observant « les bêtes de près, on les juge plus capables de progrès qu’on ne le croit ordinairement » il décrit cela comme « l’instinct ». Mais très vite il remet ces « bêtes » à leurs places en montrant la distance de capacités entre elles et l’homme « entre elles et l’homme une distance infinie ». C’est donc grâce à notre pensée, notre intelligence supérieure qu’un si grand écart est définis entre nous et les « bêtes ». Dans le texte de Blaise Pascal il nous compare à la partie végétale des êtres vivants, il nous compare d’abord à un arbre, il nous dit que comme « un arbre ne connais pas misérable » il ne peut pas l’être, pas comme nous les hommes qui connaissent ce mot grâce à la pensée et qui donc pouvons être misérable. « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant », encore une fois, il nous compare à la nature puis nous écarte de celle-ci en nous valorisant.

Quelles caractéristiques contradictoires se retrouvent chez l’homme ?, c’est 3 textes parle de l’homme est de ses caractéristiques. Tout d’abords, la pensée, la pensée est quelque chose d’assez contradictoires, car en pensant nous savons que nous somme misérable mais si on travaille à bien pensée, cela nous permettra de trouver la grandeur et la singularité de l’homme. C’est textes nous comparé beaucoup à la nature, aux êtres vivants, et nous pouvons retenir que l’homme est définis comme étant supérieur, en haut de la chaîne alimentaire, grâce à son intelligence il domine la planète, mais ces textes nous rappelle que tout êtres vivants ce battent pour le même but, survivre, il ne faut donc pas oublier qu’on est des êtres vivants, qui parcourt le même but, nous ne sommes pas si loin de nos amis les animaux tout compte fait. Nous pourrions également voir comment l’homme cherche le bonheur, ou ce qu’il définit étant le bonheur, ce qui

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