Corpus " Comment la femme idéale est elle représenté dans ces poèmes ? "A une passante" Baudelaire,"Mon rêve familier" Verlaine

Nous sommes ici en présence de d’un corpus composé de deux poèmes du XIXème siècle, dans l’œuvre « mon rêve familier » de Verlaine qui nous parle d’un rêve ou une femme inconnue apparait, et il l’aime. Baudelaire quant à lui nous décrit une passante qui ne reverra sûrement jamais, il s’agit du poème « A une passante »

Dans ce corpus nous allons voir comment la femme idéale est-elle représentée dans ces poèmes, la thématique de l’amour puis la vision pessimiste que cela nous propose.

Ces deux poèmes ont pour point communs de mettre en relation « un amour inaccessible » dans le poème de Verlaine on peut alors remarquer que le poète fait un rêve confus « rêve étrange et pénétrant », ils nous parle d’un rêve familier qui pourtant lui est inconnue, il n’arrive pas a vraiment décrire cette femme son souvenir est vague, il parle d’elle de manière abstraite et nous parle de l’amour qui lui porte et qui est réciproque « [..]que j’aime, et qui m’aime » . Baudelaire aussi nous parle d’une inconnue, une passante, il nous l’as décrit « longue,mince,en grand deuil […] » mais nous parle aussi de lui et de son ressenti.

Les deux auteurs nous parlent d’une femme qu’ils aiment mais qui pourtant leurs est inconnues. Ils parlent de l’amour de manière négative, car à la fin de chaque poème la femme disparait ou est irréelle ou encore inacessible.Verlaine nous d’un amour parfait ou leurs sentiments sont réciproque. Contrairement à Baudelaire qui lui nous parle d’une femme qui l’intimide, ou le fascine car il est « crispé comme un extravagant » lorsque que cette femme en question apparait, mais il l’as laisse filée entre ses et ne la reverra jamais.Verlain,aime la femme qu’il ne connait pas il aime une femme qui n’as jamais existé ou bien peut être une femme tirées de des souvenirs d’une autre, il ne sait ni son nom, ni la couleur de ses cheveux « Est-elle brune,blonde,ou rousse ? Je l’ignore. » « Son nom je me souviens qu’il est doux et sonore » il se rappel seulement de quelques détails déjà lointain. Pour Baudelaire, cette femme disparait comme un eclair,elle appariat presque comme un spectre ou une statue « [..] sa jambe de statue. » « un éclair… puis la nuit ! » Ne laissant alors au poète qu’un vaste souvenir.

Dans ce corpus la femmes Idéale est représenté comme une femme mystérieuse et une inconnue, même si tout reste vague ils sont attachés à leurs souvenirs ou encore à leurs imaginations et chérisse cette inconnue.

...