Consommation humaine

        La société de consommation est une chance pour les individus soit nous, consommateurs mais pour nos sociétés, cette consommation nous déshumanise pendant que l'on croie que c'est une chance.

        La société de consommation est une chance pour les individus car ils ont tout ce qu'ils veulent et désirent à porter de mains. Par exemple, dans la saga Harry Potter, les sorciers vont dans une rue, le Chemin de Traverse où ils peuvent faire tous leurs achats (vêtements, baguettes, animaux, …).

        De plus, c'est une chance car les individus ont un large choix de produits. À titre d'exemple, dans Charlie et la Chocolaterie, l'entreprise de chocolat crée une multitude de sucreries et les enfants ont donc l'embarras du choix.

        Également, c'est une chance parce que les individus peuvent se faire livrer tous les produits qu'ils désirent à domicile sans avoir à se déplacer de chez eux. Par exemple, dans le film Santa et Cie, le Père Noël a besoin de vitamine C pour ses lutins et les personnes qu'ils rencontrent commandent un stock de vitamine sur Internet avant d'être livrés chez eux quelques jours plus tard.  

        Mais la société de consommation déshumanise nos sociétés car elle nous fait détruire notre monde peu à peu. À titre d'exemple, dans le film WALL-E, les humains ont dévasté la Terre par leur consommation et sont obligés de fuir la planète tellement elle est polluée.

        D'ailleurs, elle utilise tous les médias pour nous pousser à consommer. Par exemple, dans The Truman Show, la femme de Truman fait des placements de produits publicitaires à longueur de journées pour inciter les téléspectateurs à les acheter.

        De plus, elle crée des émissions de télévision sur la vie de tous les jours de certaines personnes pour vendre ses produits. Par exemple, il suffit de regarder la télé-réalité tel que Les Marseillais où tous les acteurs s'enrichissent en étant complètement stupides. Ils ne font rien de leurs journées sauf à se montrer au monde comme des imbéciles en portant les derniers maillots d'une entreprise ou le dernier téléphone d'une autre entreprise.

        Par surcroît, elle exploite des populations dont des enfants dans certains pays pour pouvoir produire tous ceux que nous consommons. À titre d'exemple, dans le film Lion, deux enfants, un de cinq ans et l'autre de treize, travaillent avec leurs parents. Un jour, pour aller travailler dans des mines, le plus jeune se perd et essaye de retrouver sa famille quant à l'autre il se fait percuter par un train et meurt tout cela pour satisfaire les dirigeants des sociétés qui ne veulent que produire plus.

        De plus, elle remplace l'amour et le contrôle. Dans la chanson de Boris Vian, La Complainte du progrès, le narrateur ne vit plus pour sa bien-aimée mais pour les produits qu'il achète pour elle. Si ils se séparent le narrateur doit garder tous les objets qu'il achète à sa bien-aimée avant de recommencer une nouvelle histoire d'amour pour augmenter le nombre d'objets ménagers à sa collection.

        Ensuite, elle incite les individus à la haine et la sauvagerie. Par exemple, dans Au Bonheur des Dames, les femmes se battent et se comportent comme des animaux dans les rayons pour avoir toutes le dernier produit arrivé.

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