Commentaire Guillaume Apollinaire
Commentaire de texte : Commentaire Guillaume Apollinaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mariee_ameliee • 9 Novembre 2018 • Commentaire de texte • 1 279 Mots (6 Pages) • 622 Vues
POEME COURS N°3
- Le motif du pont
Pont métallique qui traverse de l’est en ouest
Le mot pont est répété dans 3 des 4 couplets, le pont est représenté pour sa dimension autobiographique, mais aussi métaphore de la liaison des deux amants, qui renvoie à l’espoir d’un renouveau sentimental.
- La figure de l’homme figé
A tous les motifs qui incarne la fuite, s’oppose la figure de l’homme solitaire, délaissé du mal aimé, le poème de fige comme un statut, il nous impose sa présence par l’organisation même du poème fondé sur le refrain, sur retour du vers « je demeure »
Le poète se construit une image d’un témoin, poésie qui retourne à ses sources, à la chanson
- Le thème de l’espérance
Ce mot qui figure dans le troisième couplet, v16 porte une majuscule = vertu théologale = foi espérance
Rapport dialectique entre l’abandon et l’acceptation de l’abandon
Tension dialectique mise en valeur par cette signification religieuse de cette espérance
CONCLUSION : Création d’une élégie, une complainte lié à l’amour perdu, un poème chanson, œuvre musicale inscription discrète de résonnance autobiographique, cette fragments mettent en exergue l’expression d’une souffrance liée à l’injustice. Inscription d’une figure d’ambivalence, tension dialectique.
PONT MIRABEAU cours moi :
C’est un pont métallique qui traverse de l’est a l’ouest, cela marque un renouveau (utilisation du métal)
Le mot est repris dans 3 des 4 couplets.
Le pont est représenté par sa représentation autobiographie = déplacement d’Apollinaire grâce a ce pont mais c’est aussi une métaphore des bras qui relient les amants = espérance d’un renouveau sentimental
2) La figure de l’homme figé
Tous les motifs qui évoquent la fuite s’oppose à la figue de l’homme solitaire, délaissé, figure du mal-aimé
Il parvient a nous imposer sa présence par l’organisation même du poème
Le poète se construit une image de témoin = témoin d’une poésie qui retourne à ses sources
3) le thème de l’espérance
Ce mot dans le vers 16 commence par une majuscule ce qui lui donne un sens = le mot fait part des 3 vertus théologale -> foi, espérance, charité
Mais cette information ne peut être détectée que par des lecteurs chrétiens qui ont étudié la religion, les lecteurs cultivés peuvent percevoir ce codage.
Tout le poème est fondé sur un rapport dialectique entre l’abandon et l’acceptation de l’abandon
Ccl : Apollinaire a crée une élégie avec ce poème, une complainte lié a l’amour disparu = poème qui se rapproche d’une chanson ce qui lui vaut du succès
Inscription discrète de résonnance autobiographique il faut connaitre la vie d’apollinaire pour comprendre les références, ces fragments mettent en exergue l’expression d’une souffrance liée a l’injustice
Inscription d’une figure de dualité = mouvement/fixité = tout s’en va/ je demeure
POEME « MAI »
INTRODUCTION
On se trouve sur la Rive droite du Rhin près du village ou A était professeur pour la famille Millhau
Ce cycle des rhénanes correspondent au retour du quotidien
Il se situe juste après « nuit rhénane »
Publié en 1905 avec l’indication Mai 1902
Evocation du paysage printanier et sentimental = intérieur et extérieur
3 quatrains et 1 quintile = pas de régularité = Dissonance
Ce qui montre un déséquilibre.
Le premier quatrain est centré sur une idylle impossible, le 2e approfondi ce thème de l’amour perdu, le quintile dessine un autre paysage, marqué par un passage un mouvement, un défilé de militaire et de saltimbanque, le dernier quatrain revient sur l’inscription d’un paysage en explorant des connotations du mois de Mai. Motif de mouvement s’oppose à un motif de fixité
PB : Si la vision aboutie à la solitude des ruines, comment affleure l’espoir que suggère le titre du poème ?
Le titre renvoie à une période de rupture = relation difficile avec la gouvernante de la famille Millhau
Le titre renvoie à un mois qui évoque le renouveau, le printemps.
Mais = adversatif Mai = Apollinaire joue avec les mots, pour l’oreille ces deux mots sont proche
Titre très polysémique : analogie symphonique
L’attaque du poème rappelle le gout de la répétition, simplicité de l’adjectif joli. L’attaque personnifie le mois de Mai comme si il était un navigateur = personnage dans une barque
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