Baudelaire, le parfum

Sifi                                                                               Première 105

Naofel

        Tous d’abord dans le premier quatrain Charles Baudelaire est sous l’emprise d’un «Démon» qui décris comme quelque chose d’immatériel traversant sont corps tous en étant a ses coté comme une sorte de camarade. Cette idée est représenté dans le vers 1 et 2 ou il utilise un complément circonstanciels «à mes cotés» et un compléments circonstanciels de lieu «Autour de moi» pour nous présenté le démon comme un compagnon et un harceleur de plus dans le vers 2 l’idée de l’immatérialité du démon nous est montré comme un «air impalpable» se qui accentue le paradoxe ou le démon est sensé être immatériel tous en se présentant sous un aspect matériel car il peut nager, se qui nous décris le caractère vicieux et sournois du démon. Dans le vers 4 Charles Badelaire nous parle de l’envahissement du démon et du fait qu’il perd sont libre arbitre, il utilise le mot «emplit» qui montre bien la situation de force du démon vis a vis du poète car il octroie le libre arbitre du poète, l’idée du «désir éternel » nous fait directement allusion a une sorte de cercle vicieux.

        Sur le second quatrain Charles Baudelaire accentue l’idée que le Démon puisse se matérialisé sous différent aspect (drogue, femme, l’alcool) , le Démon abusera de ses ruse pour entraîné le poète dans les délices de la chair. Nous pouvons tous d’abord constater l’utilisation de l’adverbe de temps «Parfois» dans le ver 5 qui montre que le démon se métamorphose souvent en femme pour dupé le poète, dans le ver 6 le poète décris cette femme comme «une femme très séduisante» il ajoutera même «la plus» pour renvoyer à une connotation sexuelle. Dans le ver 7 le mot «Et» décris une nouvelle métamorphose du Démon, les caractère de celui si seront décris par le mot «spécieux» qui sera en diérèse pour accentué le mot , «prétextes» renvoie au champ lexical du mensonge, l’allitération en s fait penser elle au serpent pour nous montré encore plus le coté fourbe de Démon. Pour finir dans le ver 8 le Démon prend la deuxième forme des délices de la chair qui est l’alcool et la drogue, le poète nous fait comprendre cela en utilisant le mot «philtres».

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