Argument le dieu du carnage
Commentaire de texte : Argument le dieu du carnage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Bastien Leveau • 13 Mai 2019 • Commentaire de texte • 303 Mots (2 Pages) • 2 283 Vues
Ensuite, on peut voir qu’il y a une confrontation entre les 2 enfants, on le remarque dès le début du texte avec la déclaration de véronique, cela est mis en lumière avec l9 « altercation verbale » on peut aussi y repérer un champ lexical de la violence avec « armé, frappé, tuméfaction, brisure, altercation » ceci est un vocabulaire soutenu et tout cela peut-être une référence au dieu du carnage qui va ensuite prendre une grande partie de la pièce. La confrontation n’a pas était uniquement physique mais aussi très violente, cela est mis en exergue l41 « ce serait quand même mieux d’éviter l’obturation canalaire » on peut constater que la bagarre entre les 2 enfants a étaient violente.
On constate aussi une confrontation entre les parents, ils se provoquent subtilement, on peut le voir avec l’intervention de Alain avec « armé ? » qui remet en cause la déclaration de Véronique qui répond « armé, vous n’aimez pas armée.. Muni ça va ? » d’un air condescendant. Elle poursuit ensuite en faisant comprendre que leur fils est dangereux sous entendant certainement qu’il n’a pas eu de bonne éducation, toujours d’un air supérieur « L’ironie est que nous avons toujours considéré le square de l’Aspirant-Dunant comme un havre de sécurité ». on peur avoir l’impression également qu’après qu’Alain ait raccroché, les parents se défient en essayant d’être plus impressionnant que la personne à qui ils s’adressent « J’ai participé à un ouvrage collectif sur la civilisation sabéenne, à partir des fouilles reprises à la fin du conflit entre l’Ethiopie et l’Erythrée. Et à présent, je sors en Janvier un livre sur la tragédie du darfour ». Finalement, on peut observer que même si les enfants sont le sujet principal, la confrontation des parents prend une place plus importante. Ils se servent de leur enfant comme d’une arme, ainsi ils réagissent comme eux malgré leur âge
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