Anthologie Fleurs du Mal de Baudelaire

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Enola

Français

Anthologie Les Fleurs du Mal

Mercredi 5 octobre 2022

VII La muse malade :

Quand je l’ai lu, j’étais malade et c’est la seule raison pour laquelle je l’ai choisi.

C’est un portrait d’un femme malade qi en est presque cauchemardesque. On y trouve beaucoup de contradiction donc on pourrait croire qu’il est confus. On n’arrive pas à savoir si la maladie de la muse est une maladie physique ou psychologique.

X L’ennemi

Je l’ai choisi pour son titre car il m’a interpellé, il a une lecture très simple.

Dans le poème, la personne dont on pale Baudelaire est le « temps » qui est une allégorie. Dans les trois premières strophes, on comprend que le temps est cet ennemi même s’il n’est pas directement utilisé donc cela confirme notre idée. Baudelaire utilise le pronom personnel « je » mais, dans la dernière strophe, il utilise les pronoms personnels « nous » et fait du temps notre ennemi à tous.

XIX La géante

A mes yeux, il s’agit d’un sonnet comme un autre mais le hasard en ouvrant le livre m’a menée à ce poème.

Le poème parle de la Nature même s’il parle d’une femme géante qui elle est contre nature. On y trouve le champ lexical du corps.

XXXIV Le chat

Etant allergique au chat, je pensais cela drôle de travailler sur son poème.

Dans ce poème, il fait l’éloge de son chat en parlant de ses « beaux yeux » tout en décrivant le plaisir qu’il a de le caresser. Dans la troisième strophe, le poète compare le chat et sa femme, c’est comme s’il humanise le chat et animalise la femme. Dans la dernière strophe, on ne sait plus si le poète parle du chat ou de la femme.

XLVI L’aube spirituelle

A la première lecture, j’ai pensé qu’il serait facile à comprendre et à expliquer mais plus je l’ai lu plus j’ai eu de difficultés à exprimer ça que j’en ai pensé et ce à quoi tout cela me faisait penser.

Le poème parle des débauchés sauf que cela concerne aussi Baudelaire. Il nous présente la vision d’une femme impressionnante, elle est divinisée. La femme pour le poète est un être lointain, inaccessible.

LVIII Chanson d’après-midi

La plupart des poèmes ont été choisi par hasard sans vraiment de raison quelconque, celui-là était seulement par ce qu’on était en après-midi.

Le poète y évoque une femme, une maîtresse, peut-être Jeanne Duval, sous la forme d'un portrait élogieux qui nous éclaire donc sur l'un des moyens d'atteindre cet idéal auquel il aspire. En effet, la femme est chez Baudelaire l'une des facettes positives du monde.

LXII Moesta et errabunda

J’ai voulu me rappeler les années de latin au collège, mais pas trop c’est pour cela que je n’ai pas choisi Franciscae meae laudes mais un poème avec uniquement le titre en latin.

Dans ce poème, Le poète évoque des images heureuses. Il parle d’une femme Agathe. Cela marque un contraste car Baudelaire a pour habitude dans ces poèmes de décrire longuement les femmes mais jamais de les nommer, ce qui souligne le fait qu’elle n’appartient plus au présent mais à l’évocation d’un souvenir

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