Analyse linéaire la chute de Mme de Bauséant

Texte complémentaire 3. Balzac le père Goriot.

Les adieux au monde de Mme de Bauséant.

Intro :

Nous avons affaire ici a un texte extrait du père Goriot publié par Balzac en 1835, un roman qui met en scène l’ascension social à Paris d’un jeune étudiant venu de province, Eugène de Rastignac. Ce passage se situe à la fin du roman quand Rastignac accompagné par Mme de Nucingen se rend au dernier bal donné par Mme de Bauséant pour dire adieu au monde après avoir été délaissé par son amant le marquis de Ajuda-Pinto.

Pb : En quoi la chute de Mme de Bauséant est-elle présenté comme un spectacle.

I- Tableau de la vie parisienne.

II- Vanité de la société.

III- Un personnage authentique.

I) Tableau de la vie parisienne (l.1 à 10)

A) Une scène de bal

« Les lanternes de cinq cents voitures » nous pouvons voir donc qu’il y a une quantité de personne qui se presse à l’hôtel de Mme de Bauséant, il y a un grossissement épique, exagération. En à accès à la scène par ‘exterieur et va progresser jusqu’au personnage principale. Le cadre est posé, il fait nuit et il y a une scène de bal chez une personne importante comme montre les gendarmes.

B) Une curiosité malsaine

« le grand monde » on a un groupe nominal pour parler de l’aristocratie parisienne. « affluait » montre que la foule est abondante, un mouvement de foule sans fin. Superlatif « si » suivi de l’adverbe de quantité « abondamment ».

« Empressement »complément circonstanciel de manière et le but c’est le verbe à l’infinitif « voir » qui corrobore toute la scène.

La chute est un objet de divertissement ;

Scène in media res, car les appartements sont déjà plein, on arrive au milieu de l’action, deux personnage se distingue au milieu de cette foule informe, Rastignac et Mme de Nucingen.

C) Un épisode historique

Ici Balzac fait une référence historique au 17ème siècle, il mêle fiction à l’histoire. Pour renforcer la dramatisation, (ligne 6)

« la dernière fille de la quasi royal maison de bourgogne »

Le personnage est rendus sublime par une maitrise de soi, mais ca montre que l’amour vrai n’est pas possible

II) Vanité de la société (l.10 à 14)

a) Beauté de femmes

Les plus belles femmes de Paris animaient les salons de paris »

Elle s’amuse avec leur toilette et leur sourire, elles sont en rivalités par leur beauté.

Il y a une impression de passivité de la scène.

b) Illusion des hommes

Distinction des hommes. « Les hommes les plus distingués de la cour » avec une énumération de la haute société aristocratique. Il y a une certain

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