Une vie

Dés le début du portrait de boule de suif  on constate que le narrateur n’a pas identifier sa  véritable identité, on voit bien qu’elle est citer par une expression renvoyant à son physique alors que les autres personnages sont présentés par leur nom.

D’abord,  il commence  par un euphémisme. En effet le mot « galante » désigne une femme prostituée, c’est son métier.

Ensuite l’auteur nous indique l’origine du surnom  « Boule de Suif », qui vient de ses rondeurs. Donc Le suif qui signifie (gras) est un produit résiduel obtenu par la fonte de la graisse d’espèces animales comme le mouton ou le bœuf.

Ainsi nous pouvons repéré le champ lexical de la rondeur : « ronde de partout», « grasse à lard », « doigts bouffis »,« peau luisante et tendue », « une gorge énorme » c’est une figure de style l’ hyperbole.

De plus, Maupassant compare certaines parties du corps de boule de suif  à de la nourriture « les doigts bouffis », « pareils à des chapelets de courtes saucisses » et elle est toute entière qualifiée d’« appétissante »

Tout ce passage montre aussi le champ lexical de la couleur : « rouge », « pivoine », « noirs », « ombragés », « ombre ».

En effet , on trouve aussi de la métaphore ligne 15 « sa figure était une pomme rouge » ». tout fois la figure d’ Elisabeth Rousset est comparée à l’éclosion (apparitre, éclorer) d’une fleur, «  un bouton de pivoine prêt à fleurir; et là-dedans s’ouvraient, en haut, deux yeux noirs magnifiques ».on voit bien que tou au long du portrait d’Élisabeth rousset le narrateur la comparé a de la nourriture a son physique malgrés tous ca guy de maupassant choisit de finir son portrait par la description qui souligne le côté sensuel et séduisant de la jeune femme avec « deux yeux noirs magnifiques, ombragés de grands cils épais »; « une bouche charmante, étroite, humide pour le baiser ». Finalement, Boule de Suif ne possède aucune description morale, on peut supposer parce qu’elle est  sous le statut de simple prostituée. Et donc, selon les personnages qui l’entourent, elle est pleine de qualités inappréciables et elle se reconnaît quand on l’a nomme sous le nom de « honte publique ».

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