Supplément au voyage de Bougainville "le vieillard"

Prise de notes du cours de Français,                                                                                  Jérome,JULIEN

lecture lineaire

« Je » qui montre que l’auteur raconte une annecdote perso.

Dès la ligne 1 rapport au titre + presence de Léry = authentification du texte .

Il est subjectif ( donne sont avis « Il me semble... ») expression de la peur ligne 2 et 3.

Léry constate que les sauvages sont très cruels.

1er constat=concéssion , conecteur d’opposition « mais » l3.

Prop sub rel : « ceux qui... »

Adresse au lecteur dès l’intro, injonction a la reflexion du lecteur.

Jean de Léry = humaniste PENSER par soi même.

3 sous patie : 1ère = l5à10 : « en premier lieu » premiere comparaison précise des gros usuriers avec les sauvages l6. Usuriers = métaphore des vampires dans la paranthese. C’est une facon abstraite de parler de l’antropophagie. Champs lexicale de l’anatomie tout au long du texte et rejoin un autre champs lexicales present depuis l’intro : barbarie.

Le verbe manger= conotation de la dévoration et du cannibalisme.

La comparaison est encore plus cruel que l’antropophagie + hyperbole « tant de ... » Léry oppose une mort lente pa la pauvreter a la mort causer par les topinamba.

« Gros »renvoi a la richesse des usuriers,

pour condamné les usuriers, Léry site un profete l9 et 10 et fait une énumeration d’action horrible avec le champs lexicales de la déstruction ( briser, ecorcher …) On a cette comparaison « comme si » qui accentue encore la comparaison avec les tupinamba . L’usure est une forme abstraite de l’antropophagie voir pire car c’est plus long et douloureux .

2ème = l10 à 21 : »d’avantage »  « si » =+concret. A partir de « davantage » il aborde les sujet des guerres de religions. Avec une serie de question rétorique. L12 il commence par l’italie= exemple très précis, il interpelle ceux qui porte le titre de chretiens. Avec le « ceux qui... » il prend de la distance avec eux car il ne s’identifie pas a eux . On a un description de scène d’antropophagie dans le spays d’europe (Italie puis France).

Léry authantifie son récit en prenant un argument qui utilise des faits historique.

L15, il passe en France . On voit une certaine honte d’êtres francais « je me fâche de le dire » il donne la date de la St Bart, champs lexicale de la barbarie «  sanglante tragédie » en parlant de la St Bart. Site un acte de barbarie a Lyon = la vente de la graiise des cadavres ; Léry répete le meme voca tout au long du texte pour marquer le lecteur (un polyptote:cruelle cruellement cruauté)

Il instite sur l’horreur de ces moment. +champs lexicale de la turie qui fait réf au massacre des protestant en Europe.

3ème =l21 à fin du texte : »semblablement » il fait un zoom pluriel=>singulier.

Il parle de « coeur de roi » . il passe du génerale au particulier pou affecter le lecteur .

c’est une annecdot evéridicte pour que ce soit incontestable + lexique du témoignage = authentification (hyperbole:milliers de personnes …)=témoignage oral et écrit .

C’est une suite d’argument de faits Historique. Mise en accusation « ceux qui... » + scéne d’antropophagie = Léry fait un réquisitoire. Déscription animamlisé et très péjoratif des fanatique catholique. Cette scéne d’antropophagie est présenter comme réel.

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