Quelle est la vison de l’enfant et son explication des phénomènes cas
Fiche : Quelle est la vison de l’enfant et son explication des phénomènes cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar leane20 • 16 Février 2016 • Fiche • 385 Mots (2 Pages) • 740 Vues
Séquence n°2: L’espèce humaine
Doc complémentaire n°2: L'écriture ou la vie , Jorge Semprun (1991)
1) Qu'est-ce qui, dans son apparence physique, effraie le plus les jeunes soldats chez le narrateur? Pourquoi?
Les petits soldats sont effrayés . L'homme comprend qu'ils le regardent horrifiés «dans ce regard d’effroi: leur épouvante» (l.1) «l’œil affolé». Ils étaient effrayés par le regard du narrateur car il transmettait l'horreur vécu dans les camps.
2) Pourquoi éteignait-on parfois les fours crématoires la nuit?
On éteignait les fours crématoires la nuit car les escadrilles pouvaient se repérer plus facilement à cause des flammes qui dépassait des cheminées. Pour les pilotes anglo-américains , c'était un bon repère pour bombarder. «repère idéal» (l.53).
3) Quel effet ces deux mots " krematorium ausmachen "produisait sur les hommes en détention? Et une fois libérés?
En détention ,ces deux mots " krematorium ausmachen " procurait pour les détenus une réalité qui les confronter à la mort car il était réveillé brusquement au cours de la nuit .Ils étaient angoissés de ne pas savoir ce qui pouvait ce passé , «à la réalité de la mort» (l.68-69) «angoisse» (l.85).
Et une fois libérés , les hommes sont marqués à vie de cette histoire car pour eux , la mort les a frôlés et ces mots leur rappellent les sentiments d'angoisse vécue «invivable» (l.113) «pas vraiment survécu à la mort» (l.173)
4) Quel va être le problème pour les survivants qui voudront raconter ce traumatisme?
Le problème pour les survivants qui voudront raconter ce traumatisme n'est pas de s'en souvenir car la réalité est toujours présente en eux ( nécessite aucun effort particulier) mais le faite d'en parler car cette histoire a été invivable et les récurrences du passé feront qu'ils y repenseront «la réalité est là» (l.109), «elle a été invivable» (l.113).
5) Quel rapport paradoxal le narrateur entretient-il maintenant avec la mort?
Son opinion est contraire aux autres car la logique pense que plus une personne vieillit , elle se rapproche de la mort mais l'auteur pense qu'il a vécu la mort , qu'elle fait partie de son passé et donc plus il vieilli , il s’éloigne de la mort «dans mon passé» (l.183-184) «n'allait pas me rapprocher de la mort mais bien au contraire m'en éloigner» (l.189-190)
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