Pour un oui ou pour un non

BAC Français :

Pour un oui ou pour un non.

Nathalie Sarraute est une écrivaine du 20ème siècle. Une photo est prise devant la porte des éditions de minuit qui montre un groupe de tropismes, mouvement tenue de la pensée qui émerge de temps en temps, dont Nathalie Sarraute faisait partie.

Pour un oui ou pour un non a été créé en décembre 1981, enregistré en radio publique en 1882 et ensuite régulièrement représenté sur les scènes de théâtre.

 Dans cette scène il y a quatre personnages dont trois homme (H1 H2 H3) et une femme (F). La représentation dure 1h20 de temps d’action. Il s’agit d’une médiares c’est-à-dire que l’action a commencé avant l’ouverture du rideau.

Présentation du texte, idée générale :

   Deux vieux amis, H1 et H2 parle de ce que H1 aurait dit et qui aurait changer quelque chose entre eux créant un malaise, un froid dans leur amitié.

1. Deux personnages, deux amis 

Deux amis, H1 et H2, sont présent. On ne leur a pas donné de nom comme ça tout le monde peut s’identifier à eux et aussi grâce à cette scène qui est banale et qui peut arriver à tout le monde aussi. Des mots simples, des phrases simples, conversations de tous des jours sont présent dans cette scène. Il y a donc un retour à une stichomythie. La scène est très fluide et spontanée, la ponctuation est aussi très intéressante : les points de suspension de H1 et H2 représente le suspend comme le doute, la pudeur pour ce en milieu de phrase. En fin de phrase, il y a de la réticence, de l’hésitation ; il se coupe, s’interrompt.

L’évocation du passé montre qu’ils sont liés et très amis comme le montre la ligne 3 « il y a quelque chose de changer », on peut penser que leur relation n’est plus pareil. Ensuite à la ligne 5 « encore un jour » montre qu’ils ont passés du temps ensemble. La ligne 25 nous montre que leurs liens sont très proches puisqu’ils parlent de leur enfance ensemble « tout ce que j’ai été pour toi », « au nom de ta mère… de nos parents ». On sent l’affection qu’ils ont l’un pour l’autre comme lorsque l’un d’eux dit « Je t’aime tout autant » ou encore « ça me fait de la peine ». Il y a une métaphore quand il dit « tu étais à l’autre bout du monde » et aussi une hyperbole tellement il s’est senti mal de l’absence de son ami mais l’autre aussi a senti de la peine quand il y a eu de la distance entre eux comme le dit la ligne 7. « Tu me dois ça » montre que H2 a trahi l’amitié en cachant quelque chose à un ami alors qu’à un ami on peut tout lui dire. Malgré leur amitié, les deux hommes ont du mal à se parler.

1. Amitié en danger

La ponctuation là aussi a son importance car H1 veut savoir, donc il insiste donc il passe plus ou moins un interrogatoire a H2. Il encourage H1 a révélé ce qui le tracasse « Essaie quand même » ligne 14, « Essaie toujours » ligne 44. H1 prend cette affaire très à cœur « je t’adjure solennellement » ligne 25 et porte beaucoup d’importance à cette histoire car il évoque les parents à la ligne 25. H1 veut tellement savoir qu’il devient sérieux puis devient plus léger car le sérieux n’a pas marché, il utilise le côté plaisantin. Au début il essais de jouer sur les sentiments mais ça ne marche pas non plus comme on peut le voir aux lignes 12 et 13. H1 utilise des questions rhétoriques. On voit donc que H1 a le rôle de l’acquisiteur, il demande deux comptes. H2 est très vague dans ses paroles, il ne veut rien dire. Il utilise même le mot « rien » très souvent ainsi que le mot « mots » ce qui est très flou.

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