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Marie Chapdelaine Analyse

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Par   •  11 Novembre 2022  •  Résumé  •  5 184 Mots (21 Pages)  •  322 Vues

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C'est l'heure de souper, Maria vient de revenir de son voyage à St. Prime et Péribonka. Presque toute sa famille, y compris Tit’Bé, Alma-Rose et mère Chapdelaine est intéressée par ses histoires. Dès que mère Chapdelaine prépare le souper, on nous donne une pittoresque description de la maison Chapdelaine et la beauté qu'elle possède. Avec les grandes fenêtres et un grand poêle de fonte qui est situé au meilleur de la maison. Un peu plus tard, ils discutent d'un monde surnaturel ou des démons existants. La mère Chapdelaine leur raconte des histoires qui faisaient peur au Tit’Bé. Dimanche soir, Eutrope Gagnon, la seule voisine des Champdelaines viennent pour un rendez-vous avec sa famille. On peut remarquer que jusqu'à maintenant le temps joue un rôle très important dans la vie de Champdelaines et, les longs hivers prennent la majorité d'ans, mais à la fin du chapitre on voit la pluie pour la première fois qui signe que le printemps vienne!

Quand tu sens la tentation qui vient, prends ton chapelet et dis des prières. (Page 37)

J’ai marqué cette phrase car, les chapelets ont été utilisés plus souvent dans le passé comme une façon pour attraper les esprits et les débarrasser. Bien que je ne suis pas une personne religieuse, les chapelets possèdent beaucoup d'importance et de protection pour ceux qui le sont. De plus, en tant qu’un fan de la série télé "Surnaturel", les fantômes et les esprits ont toujours me fascine

Il y a trois jours, Maria attend le bruit des chutes qui indique encore que le printemps arrive, car ils se sont suffisamment réchauffés pour dégeler. Un vieil ami de la famille Chapdelaine, François Paradis, arrive chez eux pour une visite. Du fait que, la famille n'a pas beaucoup de visiteurs, ils sont heureux de lui en parler. Maria à poser les yeux sur François, un beau jeune garçon avec un corps et visage éclatant et des yeux téméraires. Nous pouvons penser que Maria à un béguin vers lui. En parlant, comme le père Chapdelaine, François exprime son désir de ne pas s'instituer dans un village et de cultiver la terre. Il voulait vivre une vie plus aventureuse où il peut cultiver le bois, faire la chasse et commencer avec des sauvages. Les trois ont continué à parler et il répond aux questions de son voyage sur la côte nord du golfe et dans le haut des rivières.

“...je n’ai jamais eu de trouble avec les sauvages ; je me suis toujours bien accordé avec eux.” (Page 55)

Quand on utilise les mots descriptifs je pense que c'est tellement important d'être plus sensible vers les groupes de personnes. Dans cette phrase l'utilisation du nom “sauvages” me marqué à cause du fait que cette terminologie est dépassée et méchant terme “sauvages” veut décrire les êtres humains qui sont un peu plus asociaux et isolés dans les bois. Néanmoins, à cette époque ces références peuvent être vues comme racistes et banales. À mon avis, nous pouvons utiliser les adjectifs qualitatifs comme rugueux, barbare, féroce ou même “sauvage” comme un adjectif au lieu d'un nom pour un groupe des personnes sonnent mieux.

Les beaux jours de printemps continuent, Esdras et DanBé Chapdelaine reviennent des chantiers où ils avaient passé l'hiver. Dans ce chapitre nous apprenons un peu plus à propos de la famille Chapdelaine. Dans la famille, il y a six enfants, quatre fils et deux filles. Les plus âgés sont Esdras et Maria puis on a DanBé et TituBé et les plus jeunes Télesphore et Alma-Rose. DanBé a un corps assis grand et massif avec des cheveux noirs. Esdras est de la même grandeur, mais il est plus mince que mon père. Tous les fils et le père Chapdelaine commencent a fait la terre en coupant du bois avec leurs haches à manche de merisier. Un peu plus tard, Maria crie à haute voix que le souper est prêt. Toute la famille commence à manger. Travailler pendant les jours pour les hommes et la préparation du souper par les femmes sont habituellement ce qui s'est passé, car pendant les cours du mois de printemps, ils doivent travailler les longs jours et se préparer pour le festival de saint Anne.

un salaire de vingt piastres par mois il s’attelait chaque jour de quatre heures du matin à neuf heures du soir à (Page 62-63)

Cette phrase m'a marqué parce que, s'ils veulent gagner 20 piastres par jour, ils doivent travailler dix-sept heures tous les jours. Quand on fait les mathématiques sur cela, le salaire horaire s'avère être $1.18 piastres. Je sais qu'au passé l'argent était beaucoup plus différent, que oui le salaire était plus bas, mais ainsi étaient les dépenses. En lisant ceci, j'ai beaucoup d'être reconnaissante, car pour mon emploi maintenant mon salaire horaire est $15.00. De plus, une petite chose qui m'a aussi marqué est le fait qu'ils utilisent “les piastres” au lieu de “les dollars”. En faisant un peu de recherche, je trouve que c'est un terme du passé avant que “les dollars” aient été formulés.

Le jour de Saint-Anne s'approchait et la saison des bleuets commença. Au Québec, ils cultivent plusieurs baies sauvages, mais les bleuets sont la plus abondante et savoureuse. En préparation pour l'occasion les Champdelaines ont veillent avec Eutrope, François et Lorenzo Surprenant–un Québécois d'États Unis. Ils ont parlé de la vie au Québec et pourquoi certaines Québécoises ont déménagé aux États-Unis grâce à la meilleure culture de terre. Le père Chapdelaine demande à Lorenzo s'il va vendre la terre et il lui répond que oui, bien sûr. Poser au Lorenzo s'il voulait vendre De plus, ils ont discuté de leur admiration envers Maria et comment chacun d'eux ont des traits différents qui peuvent s'intéresser. Tous les visiteurs continuent à parler de leurs voyages et décident de passer la nuit chez les Chapelaines parce qu'ils attendent la fête de Saint-Anne. Vers la fin du chapitre, au cours du lendemain, une journée de ciel bleu clair, Maria et François cueillent des bleuets seuls et il a demandé si elles pouvaient attendre jusqu'au printemps de l'année prochaine pour lui.

Mouche, mouche diabolique, mon nez n’est pas une place publique ! (Page 90)

Je me marque cette phrase à cause de deux raisons. Tout d'abord, j'apprécie le fait que ces paroles riment. À mon avis, quand l'auteur utilise les petites techniques comme cela, il aide la fluidité du texte et attire l'attention de la lecture. De plus, comme Alma-Rose, quand je suis jeune je ne

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