Maria Chapedelaine
Dissertation : Maria Chapedelaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar linelina126 • 10 Novembre 2019 • Dissertation • 2 798 Mots (12 Pages) • 561 Vues
DISSERTATION : Maria Chapedelaine
Par
MOUNA FACI
Présenté à
M.JEAN-CLAUDE BROCHU
Cégep Édouard-Montpetit
Littérature québécoise
601-103-MQ, gr:1140
9 octobre 2019
Plan Maria Chapedelaine
Intro :
Sujet amené : Courant litt (terroire) époque ou domaine
Posé : vie paysanne : Les deux textes présentent de facons plutôt ressemblante la vie paysanne
Divisé : En partie ressemblant, principal diff= point de vue de mere chapedelaine et les idées principales des 3 autres paragraphes
Dans la première moitié du XIXem siece, la littérature canadienne-francaise fwefw au courant littéraire du terroire. Celui-ci avait comme but de promouvoir l’idéologie de conservation qui consiste
Celui-ci était principalement caractérisé par la constante présence de l’idéologie de conservation. Cette dernière proumovoie la vie sur la terre, la pratique assidue de la religion et l’importance de l’unicité de la famille. D’ailleur, dans dhwihwiwuifuw, deux oeuvres appartenant à ce courant, présentes de facons plutôt semblable la vie paysanne. D’une part, l’extrait un point de vue négatif et pessimiste de la vie paysanne que nous retrovons au travers de l’extrait. Dautre part, nous avons la Mère Chapdelaine, qui essaie, dans son extrait à elle, de
Developpement :
Dans le dialogue entre la mère Chapdelaine et Lorenzo surprenant, dans l’œuvre de Louis Hémon, la mère Chapdelaine fait l’éloge de la vie sur la terre. En effet, celle-ci
Para 1 : il n’y a pas de plus belle vie ….. ah que c’Est beau
1er paragraphe : Le personnage de la mère Chapedelaine, dans l’extrait de Louis Hémon, plaide pour la vie paysanne.
1er idée sec : Elle représente l’autonomie
Champs lex de l’autonomie 3-4 mots sur l’autonomie
« Point de dette », « libre », « boss », « pour soi »
2em paragraphe : La description de la terre dans Maria Chapedelaine entre la mère et lorenzo décrit de la meme facosn que dans les foins. Autant dans les foins que dans le dialogue entre la mère Chapedelaine et Lorenzo dans Maria Chapedelaine, la terre est décrite de facons défavorable.
Autant dans les foins que dans le dialogue entre la mère Chapedelaine et Lorenzo dans Maria Chapedelaine, la terre est décrite de facons défavorable. En effet, elle y est décrite de tel sorte qu’elle n’est pas propice aux travaux agricoles. Dans l’extrait de Maria Chapedelaine, Lorenzo dit que le blé et l’orge sont des aliments que les cultivateurs ont « tant de mal à faire pousser ». Or, ces deux grains sont utilisé majoritairement pour faire du pain, qui représente la nourriture de base. Ainsi, cet citation porte à croire que les habitants se battent avec la terre pour pouvoir produire que de quoi survivre. Dans le même ordre d’idée, dans les foins, quand le narateur dit que : « l’inutilité des labeurs, des durs travaux apparaissait»(p.31-32) , on en retir le meme kfwjjfw. Le mot « inutilité » renvoie au fait que la terre n’est pas généreuse et que la grandeurs de leur travail ne se retrouve pas récompensé que par la faible récolte obtenue. La terre, dans les deux textes, ne semble pas vouloir produire des fauches fjeoifjef. Cependant, la terre ladre n’est pas le seule facteur qui montre la misere paysanne dans les deux œuvres.
1er sec : Elle n’est pas propice aux travaux agricoles. Elle ne s’y prète pas
MC : « en pensant à l’avoine ou à l’orge qu’on a eu tant de mal à faire pousser » pcq l’avoine et l’orge sont probablement les aliment les plus « effortless » à faire pousser je crois
(trouver une citation dans le texte 1 et 2. L’explication peut suivre dirrectement la sitation )
3em para : Le portrait fait du paysant type par les deux œuvres semble peu enviable
Nous retrouvons aussi le portrait fait du paysant typique par les deux œuvres qui semble peu enviable. Autant dans fui3fjfij3 que dans f3fj3i, les auteurs nous font le portrait physique défavorable des paysant. Dans les foins, la paysanne est décrite comme « sèche » et « jaune » (l.53), ce qui est tout le contraire de ce qui était considéré comme charmant chez une femme à l’époque : une femme douce au teint rosé. Le teint jaune décrit chez la travailleuse projette des images de maladies ou de malnutrition , tandis que l’allure sèche renvoie au fait que celle-ci dévellope une musculature causé pas les dures labeurs et maigres repas quotidien . Dans Maria Chapedelaine, Lorenzo décrit les paysants, comme « bien resté », où « resté » est un canadianisme qui signifie fatigué. Ainsi, ces deux textes présente une images de paysant dont le dur labeur gruge la santé physique. Le portrait psychologique qui est fait dans les deux textes, lui aussi, est défavorable. En effet, dans Les foins, des mots commes « dépression » et « découragement » sont utilisé pour exposer le consternement des paysants face à la terre qui ne leur donnait pas de fauche. Pour ce qui en est de l’œuvre de Louis Hémon, lui parle plus de l’état d’angoisse constante dans lequel se trouve un cultivateur. Notamment, lorsqu’il décrit comment les paysans mange leur repas à la hâte « avec la peur du nouveau tour que [leur animaux] sont peut-être à préparer encore», le lecteur réalise vraiment que la survie d’un paysant dépend de sa récolte. Si celui-ci se fait manger sa récolte par son betail, c’est sa réserve alimentaire qui en sera touché et donc sa survie sera rendue plus difficile. Finalement, les deux extraits présentent aussi la situation sociale des travailleurs de la terre qui est désolante. Les foins nous présente la réalité des paysant comme étant des gens pauvres qui doivent se contenter de peu. Le lecteur le realise grace au « vielle habit [qui] bouchait un carreau cassé » chez le laboureur typique. Cela exhibe la facons dont ces derniers ne vivent pas dans l’abondance de richesse. Maria Chapedelaine de Louis Hémon, lui, nous présente un autre aspect tout aussi déplorable de la vie sociale paysanne : l’isolement. Le fait « de vivre seuls, loin de tout, sans plaisirs. » comme le décrit Lorenzo Surprenant est un des grands inconvénients de la vie campagnarde. Celui-ci le présente comme l’absence d’Activité, de divertissement et la solitude assuré. En sommes, les deux textes présentent tout le supplice de la vie paysanne sous nombrable de ses facette dont nottament l’aspect physique, psychologique et sociale. Toutefois, il n’en reste pas là, le climat aussi contribue grandement à cette dénuement décrite dans les deux récits.
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