« Le crépuscule du soir », Baudelaire

FICHE FRANÇAIS TEXTE 2

« Le crépuscule du soir », Baudelaire

Introduction :

Le texte que nous allons étudier s’intitule “Le crépuscule du soir”, il est extrait des Fleurs du mal. Ce texte a été écrit par Charles Baudelaire au XIX -ème siècle à une période où les poètes était appelé les poètes maudit. Ce poète s’est dédié à l’écriture poétique malgré de nombreux problèmes : les soucis de santés et le “spleen” sont allés de pair avec les soucis juridiques liés à la censure. Cet auteur était à la transition entre deux mouvements littéraires, le romantisme, qui s’intéresse essentiellement à l’expression des sentiments personnels et le symbolisme, qui recherche dans des images concrètes la démonstration d’un univers plus abstrait. Dans les Fleurs du mal, l’auteur transforme des éléments négatifs comme la mort, la prostitution, le “spleen” en éléments positifs pour faire des fleurs poétiques. Dans ce texte la nuit à Paris s’installe et une série de démons malsains apparait. A la fin, l’auteur en profite et parle de lui.

Nous nous demanderons comment l’auteur donne une image ambigüe de la ville.

Dans un premier temps nous verrons l’arrivée du soir dans un deuxième temps nous étudierons le développement des démons et enfin la mélancolie de l’auteur.

“Les embarras de Paris”, Boileau

Introduction :

Le texte que nous allons étudier s’intitule “Les embarras de Paris” extrait des Satires, IV. Ce texte a été écrit par Nicolas Boileau au XVIIe siècle. Admirateur de Molière, Racine et La Fontaine, cet auteur écrivait des poèmes. Il a appartenu au classicisme, mouvement culturel et artistique où les auteurs étaient à la recherche de la qualité, l’équilibre et la symétrie. Les Satires sont un recueil de poèmes entièrement écrit en alexandrins et publié en 1666. Il s’est inspiré des Satires de Juvénal. Il aborde différents thèmes variés comme la vie difficile dans Paris, avec le bruit, la foule. Dans “Les embarras de Paris”, l’auteur parle de la ville comme un endroit très vivant et moderne cependant il le compare aussi à un enfer, dont nous pouvons rire.

Nous nous demanderons quelle représentation de la ville Boileau propose. Dans un premier temps nous nous intéresserons à la vie parisienne. Dans un second temps nous verrons la satire de la confusion qui règne dans les rues de Paris.

Conclusion :

Nous cherchions à savoir quelle représentation de la ville Boileau proposait-il. Dans un premier temps, il décrit Paris de façon péjorative. Selon lui, c’est un lieu dangereux, bruyant où il est menacé sans répit. Cependant, dans un deuxième temps, il exagère sur le nombre d’incidents qui pouvaient lui arriver, jusqu’à dire que les dieux sont à son encontre. En effet, on comprend que son but n’est pas de paraître pathétique mais de nous faire rire. Cela pourrait

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