Le Fils du Noir d’Oswald Durand
Commentaire de texte : Le Fils du Noir d’Oswald Durand. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jayyde • 1 Mars 2016 • Commentaire de texte • 584 Mots (3 Pages) • 3 352 Vues
A travers 5 poèmes, Le Fils du Noir d’Oswald Durand, Hors des jours étrangers D’Aimé Césaire, Les Vaudours de David Diop, 980 000 nous sommes de Maxime N’Débeka et Gorgé de sang de mukala Kadima Nzuji, nous verrons les différentes formes de violence que véhiculent ces poèmes ainsi que les indices nous montrant que ces poèmes en Français n’ont pas été écrit en métropole.
Durand fait référence aux cultures de son pays d’origine soit Haïti, il compare le rougissement de Lise avec le fruit de Grenade qui pousse uniquement dans des pays étrangers “Quand elle rougissait de crainte ou de surprise, on croyait voir soudain une grenade en fleurs.”, il fait également référence au fait que les blonds sont rares dans son pays, les personnes de couleur sont rarement blonds, il est donc pour lui obligé de comparer par une chose de même couleur, comme le “maïs” ou le “soleil ardent”.On voit bien que sont texte n’a pas été écrit en métropole, on le voit clairement bien aussi dans Hors des jours étrangers, Gorgé de sang et Les vautours, car ils parlent beaucoup de leur peuple et des terres qu’ils tentent de conserver, ainsi que leur civilisation contrairement à 980 000 nous sommes il est beaucoup plus difficle à savoir,Le chiffre 980.000 représente une majeur partie des congolais , il y a une affirmation qui suggère, sans le dire, la force que peut offrir le nombre. Ils partagent les mêmes problèmes qui en font une masse: “affamés” (n'ayant jamais assez pour se nourrir et nourrir leurs familles), “brisés” (réduits à des esclaves, la dignité piétiné), “abrutis” (de travail et semblant amoindris intellectuellement). Il y a enchaînement force-nombre dans ce retour du chiffre et une précision dans ce qu'on a déjà compris: “ouvriers, chômeurs et quelques étudiants” (incluant les paysans) c'est-à-dire ceux qui, n'ayant plus droit qu'à une fraction de vie, ont pris conscience ensemble de leurs états et de leur but commun et sont susceptibles de donner libre cours à leur colère, à leur révolte. ce texte ci montre une forme de violence physique et phsycologique comme dans hors des jours étrangers, de la violence verbale ” jouet sombre “, “ épouvantail désuet “, allitération en [t ], qui vient ici renforcer l‟impatience déjà évoquée avec l‟anaphore de “quand”, dans le même temps la tendresse est partout présente, “mauvais sommeil rompus “, “ abîmes remontés, “ cauchemars domptés “ Et surtout dans la promesse d‟un lendemain meilleur « demain plus haut plus doux plus large ». Les vautours dû à son lexique il « attaque » les impérialistes françaises directement, et montre la souffrance de son peuple “hurlement”, “agonisait dans l’enfer métallique” et veut la vengeance”le printemps prendra chair sous nos pas de clarté”, si on fait le lien avec Gorgé de sang, celui ci est beaucoup plus violent et fait preuve de violence physique mais surtout psychologique pour le peuple, la perte d’une grande partie de son peuple reste et ils ils sont pleins de rage, “écorchés”,”poignardés”, “calcinée”,”brisé” ,“défigurés”, il nous montre la violence de sa souffrance tout au contraire de Le Fils du Noir, car c’est avant tout une souffrance moral, d’amour et de discrimination, l’espoir de fait vivre “et, cependant, mon coeur est jeune encor! le monde ne l’a pas desséché de son haleine immonde, ni flétri des baisers impurs de ses Phrynés” mais sais très bien qu’il n’a aucunes chances. 5 textes qui montrent la souffrance, mais qui malgré tout n’éteint pas le peuple, leur force est au dessus.
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