Langue et littérature française : la poésie

Classe : 1re H                           Enseignante : Amina MAKKÉ BACHIR       Nombre de pages : 5

Nom: ________________________                                Date : 29 février 2016

La poésie

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I- Définition

Choisissez la bonne réponse pour trouver la définition de la poésie.

La poésie se définit comme un travail sur (le langage/les images), par la (dissociation/combinaison) de mots, sonorités, d’images. Elle est généralement composée en (vers/prose), mais elle existe aussi sous la forme de prose poétique, de poème en prose ou de vers libres. Elle a une fonction (destructrice/créatrice) (poésie vient du terme grec « poiêsis », qui signifie création) et elle vise la beauté et l’harmonie du langage, suscitant un univers de sensations, d’émotions et d’images.

II- Les vers

Complétez les trous par le mot convenable, de la liste ci-dessous, pour trouver la définition d’un vers et du mètre puis reliez chaque vers, après le découpage métrique, à son mètre.

ennéasyllabe - retours –syllabes –règles -  décompte –Verlaine - – muet – nombre – heptasyllabe –unité – hendécasyllabe – e.

Le vers

Un vers est une suite de mots constituant une …………………., que l’on distingue typographiquement par des ……………….. à la ligne à la fin de chaque ……………….. . Le vers est traditionnellement soumis à certaines …………………, qui définissent sa mesure et sa cadence.

Le mètre

Le mètre est le nombre de ……………… contenues dans un vers. Le ………………. des syllabes obéit à certaines règles, dont une qui contraint à ne pas compter le ……… à la fin du vers, ou à l’intérieur d’un mot (on parle de « e » …………..). Le vers est pair ou impair selon le ………………….. de syllabes.

La poésie traditionnelle privilégie les vers pairs :

L’alexandrin        ∎                ∎ Frères humains qui après nous vivez.

                                                        (François VILLON, Poésies diverses)

Le décasyllabe ∎                ∎ Au pied de l’échafaud, j’essaye encore ma lyre.

                                                        (André CHENIER, Lambes)

L’octosyllabe ∎                ∎ Le temps, qui s’en va nuit et jour

                                                (Guillaume de LORRIS, Le Roman de la Rose )

Les vers impairs, de sept (…………………….), neuf (………………..), ou onze syllabes (……………………), sont moins fréquents. Ils ont surtout été priés par les poètes de la fin du XIXe siècle. ……………………. dans Jadis et naguère, justifie l’emploi du mètre impair.  

                        « De la musique avant toute chose

                        Et pour cela préfère l’Impair

                           Plus vague et plus soluble dans l’air,

                           Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. »         

III- Le rythme

Qui suis-je ?

La musique du poème tient au rythme introduit dans les vers selon différents procédés.

Je corresponds aux pauses, nécessaires à la lecture des vers longs. Je suis marquée par un trait oblique.

Je suis……………………………………..

Je suis la coupe principale, qui divise les vers en deux parties, appelées hémistiches. Je suis notée par deux traits obliques.

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