La violence
Dissertation : La violence. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lol12340 • 2 Janvier 2022 • Dissertation • 950 Mots (4 Pages) • 440 Vues
La révolte par la violence ou sans violence, et peut être vital de toute conscience révolutionnaire. À la lumière de la violence, on perçoit mieux que la violence est un déni de l'autre, alors que la force implique une retenue de la puissance. Le sort de l'autre importe, la force se refuse à la cruauté à laquelle la violence conduit souvent. C’est pour cela que dans certain cas la révolte passe par une sorte de violence. Nous nous demanderons est ce le devoir de la révolte de passer par la violence. Dans un premier temps la révolte doit, dans une certaine mesure, passer par la violence. Dans un second temps que la révolte par la violence retire de la légitimité.
La révolte passe par la violence qui est nécessaire dans une certaine mesure et cas qui diffères les uns des autres. Beaucoup de révolte ont eu lieu parmi ces dernières années. Et parmi toute ces révoltes nous avons pu voir que souvent sans violence ou acte fort comme une grève de la faim ou encore de grand rassemblement consistant à bloqués la circulation ou les livraisons de marchandises. Ces actes ont pu être observer récemment par la révolte des gilets jaune qui a rassemblés plus de 3000 révoltant durant son premier acte qui s’est déroulé le 17 novembres 2018. C’est durant les actes suivant que nous avons pu voir plusieurs violences entre les forces de l’ordre et les gilets jaunes. Dire que la violence et nécessaire, c’est dire qu’il ne peut pas en être autrement. Pourtant dire que la violence est un mal nécessaire semble être quelque chose d’inacceptable pour la raison. Reconnaître sa nécessité se serait la rendre presque banale voire justifiable comme une fatalité à laquelle on ne peut échapper ce qui enlèverait toute responsabilité humaine dans le choix de la violence. Pourtant, il s’agit aussi de comprendre en quoi l’usage de la violence peut être légitime donc un « mal nécessaire » en dernier recours. Sans violence ces révoltes seraient de simple revendication.
Parfois elle passe par une puissance positive qui galvanise et peut être perçu comme légitime.
Si une cause est légitime, cela signifie qu’elle est justifiée et nécessaire à soutenir d’un point de vue moral, et qu’elle n’est pas simplement légale d’un point de vue juridique. La violence est protéiforme dans ses manifestations : cela peut être des insultes, des coups, des humiliations de diverses sortes. La violence, c’est le plus souvent le droit du plus fort. Par ailleurs, le recours à la violence n’est-elle pas légitime, faute de mieux. C’est pour cela que durant la 2nd guerre mondial les attentats des résistants envers les nazis peuvent être perçu comme plus légitime, que la violence recourue par les nazis contre les opposent au pouvoir. Ainsi la violence a pu être légitime dans certain progrès social. D’un point de vue historique, la violence a pu être justifiée pour permettre certains progrès sociaux. Ainsi, Marat écrivait dans le journal l’Ami du Peuple en 1793 : « C’est par la violence qu’on doit établir la liberté, et le moment est venu d’organiser momentanément le despotisme de la liberté pour écraser le despotisme des rois ».
Mais parfois cette violence légitime et qui fait avancer les choses peut perdre ou lui voir retirer sa légitimité. C’est pour cela qu’on peut perdre en crédibilité.
Lorsque nous agissons avec violence on risque avant tout des sanctions pénales grave suivent l’acte de violence mais aussi perdre le sens même du message voulant être passer avant ces actes violent. La violence perd sa légitimité si elle est démesurée par rapport à la révolte qui a lieu. La violence va parfois trop loin que ça soit des pillages de magasin où dégradation de bien
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