La richesse et le luxe présent dans l'oeuvre Bel ami de Maupassant
Commentaire de texte : La richesse et le luxe présent dans l'oeuvre Bel ami de Maupassant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar NoaVCT • 9 Janvier 2022 • Commentaire de texte • 300 Mots (2 Pages) • 451 Vues
Dans la deuxième partie, chapitre VII de l’œuvre Bel Ami de Guy de Maupassant la richesse et le luxe sont présents à tout moment.
Tout d’abord, sur un coup de tête, M. Walter achète l’hôtel de Carlsbourg. D’autre part, à la suite de son acquisition du tableau Le Christ marchant sur les flots, une grande réception est organisée afin de montrer la richesse de sa famille. Tout Paris est convié et tout est fait pour montrer la démesure présente. Par exemple, le champ lexical de la démesure et du luxe enrichit la description de l’hôtel particulier : « la cour d’honneur », « le vestibule énorme », « un escalier monumental », « une merveille de fer forgé », « large jardin », « massifs de fleurs rares », « large dôme de palmiers », « vaste bassin de marbre blanc », « le fond du bassin était sablé de poudre d’or ». Cette démesure s’exprime dans l’immensité des espaces et dans une richesse excessive. Georges Duroy prononce alors cette phrase qu’on découvre à la page 303 : « En voilà de l’épate. », exprimant sa jalousie face à la richesse des Walter. Lors de la découverte de cette demeure, la description des pièces renforce l’effet grandiose : « Cinq salons se suivaient, tendus d'étoffes précieuses, de broderies italiennes ou de tapis d'Orient de nuances et de styles différents ». Face à cela, la stupéfaction des visiteurs est clairement exprimée par leurs mots : « C’est fort beau, fort beau ! » à la page 303. Cette répétition accentue leurs sentiments. Même Suzanne, la fille de M. Walter remarque la volonté de son père qui est de montrer leur extrême richesse : « C’est étonnant comme il fait le paon, papa, avec cet hôtel » à la page 305.
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