Guillaume Apollinaire : Alcools, 1913 , « A la santé » (Septembre 1911)
Commentaire de texte : Guillaume Apollinaire : Alcools, 1913 , « A la santé » (Septembre 1911). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Canéli • 27 Décembre 2021 • Commentaire de texte • 522 Mots (3 Pages) • 4 414 Vues
Guillaume Apollinaire : Alcools, 1913
Texte 3 bac : « A la santé » (Septembre 1911)
Présentation :
- La santé avec un S majuscule est nom d’une prison parisienne
- En 1907 une amie de apollinaire vols des statuettes au Louvre ; il a va en revendre a apollinaire et à Picasso
- En 1911 la joconde est volée, il y a enquête et lamie d’apollinaire rend les statuts et dénoncé ses 2 acheteurs
- Apollinaire va être arrêté comme complice du 7 au 13 septembre 1911
- Poème lyrique, à caractère autobiographique
- 6 strophes qui pourrait correspondre au 6 jours en prison.
- Majorité de quatrain, rime croisée
Contexte ;
- Historique : ∅
- Biographique : ∅
- Littéraire : ∅
Résumé :
le poète est en prison, et nous raconte les différentes phases de son séjour en décrivant son cadre de vie ainsi des activités.
Découpage :
- V.1 à V.20 : Le début de l’incarcération.
- V.21 à V.44 : Le quotidien en prison.
- V.45 à V.57 : l’évolutions des sentiment d’apollinaire
Problématique : Comment l’auteur décris sa vie en prison ?
- (V.1 à 20) : Le début de l’incarcération
Explications | Identification | Citations |
Le poète commence par évoquer les préparatifs de l’incarcération. il parle de la fouille il parle usais de la perte d’identité car en prison les individus sont désignés par un matricule | ||
Apollinaire met en évidence l’opposition entre le monde carcérale qui fait penser à la mort. l’auteur ironise sur la situation avec la polysémie du titre | ||
Le poète s’interroge et ressent de la tristesse | ||
La seule source de réconfort c’est la poésie qui permet de s’évader, d’avoir un lien avec le monde extérieur et vivre un moment de joie |
- (V 21 à 44) : déroulement d’une journée de prison
Explications | Identification | Citations |
Ce qui domine dans le quotidien d’est un sentiment de monotonie. le père ressent surtout de l’absence de liberté | Répétition C L de la prison | « dans la fosse comme un ourse » / « chaque matins je me promené » « Chaine », « cellules », « clefs » « geôlier » « murs » « enchaine » « prison » |
Ce qui fait également souffrir c’est absence d’humanité. Cette absence d’humanité est aussi liée à l’isolé | comparaison | « dans une fosse comme un ours » |
Il est gagné par le désespoir | Champ lexical de la douleurs | « douleurs » « pitié » « ces pauvre cœurs battants » « larme » « pâleurs » |
La seule aide qu’il trouve vient de la religion, il s’adresse à dieu | Interjection Le pronom personnel de la dixième personne du singulier | « o dieu » |
- (V.45 a fin) :
Explications | Identification | Citations |
Il parle du temps, temto il ne passe pas vite mais en même temps il passe très vite il a perdu la notion du temps | C’est une antithèse | Et prisonnier sans horizon |
Il perçoit les bruits de la ville Il se projette sur l’univers de dehors, il est attentif, en imaginions il est focus | Négation | Vers 50 |
Le poète est pu seul il a trouvé de la compagnie | Pronom nous |
Conclusion : L’auteur décris son sejour en prison comme un séjour nagatif
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