Femmes fatales
Commentaire de texte : Femmes fatales. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar matteo987 • 21 Décembre 2018 • Commentaire de texte • 459 Mots (2 Pages) • 1 243 Vues
Bonato Mattéo
Question de corpus
Note : | Commentaire : |
Le corpus appartient à l’objet d’étude « Le personnage de roman du XVI eme siècle a nos jours». Celui-ci est composer de 3 texte du même siècle : le premier s’intitule Carmen de Prospère Mérimée de 1847, le deuxième est un extrait de la dame aux camélias d’Alexandre Dumas Fils en 1848 et le dernier est un texte d’Émile Zola qui s’intitule Thérèse Requin, chapitre VII en 1867. Nous verrons en quoi les personnages féminins dans ces extraits peuvent être considérés comme des femmes fatales. Afin de répondre a cette question nous verrons dans un premier temps la description physique et morale de la femmes fatale et dans un deuxième temps la représentation de la séduction du point de vue de la femmes et de l’homme.
Chacune de ces femmes répresenter dans ces trois texte sont soulignées par un charme cororelle et vestimentaire. Dans les trois textes les femmes sont décrite par des hommes. Dans le premiere texte le narrateur insite beaucoup sur la couleur rouge que porte Carmen qui signifie la sensualiter, elle porte «un jupon rouge fort court qui laisseait voir des bas de soie blanc» l.9, «et des souliers mignions de maroquin rouge» l.9-10. Le narrateur a aussi rajouter un petit touche de couleur sensule avec des rubans couleur feu. Thérese est brivement décrit elle est vétu en camisole, en jupon , il nous decrit plus ca beauter corporel les levres humides, les yeux luisant, elle rayonait. Chez Margeurite on ne connais pas la facos dont elle est vetu, le narrateurn la qulifie de vierge. Mais on nous décrit plus sa beauter corporel avec ses narines rouse et ouverte, ses grand yeux legerement cerclé de bleu. On remarque aussi différente partie du corp dévoiler dans le premier texte, Carmen ecartaitsa mantille afin de montere ses épaules, sa bouche, s’vancais en se balancant sur ces hanches, chez thérese souple et fort, sa figure devoiler ses nerf qui se tendaient et pour Margeurite suel son visage est décrit avec ses grand yeux et ses narines. Toutes ces partie du corp devoiler qui son des atout féminin pour cette époque sont les plus sensuel et donc c’est pourca que les femmes les cachais et quelle avis honte des les montrer, on n y fait allusion dans le texte de carmen une femme en ce cotume aurait obliger le mnde a ce signer. Seul dans premiere texte Carmen est assosier a une pouliche du haras de Cordoue mais aussi a un chat elle, suivant l’usage des gemmes et des chats. Cette association a des animale rattires les homme et mettent en avant le coter femme fatale
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