Eldorado journal de bord

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Livre Eldorado :

Chapitre 1 : L’ombre de Catane.

Lors de ce premier chapitre, on rencontre le commandant Piracci et on apprend à le connaitre, personnellement je me suis attaché rapidement à lui. Ce chapitre contient aussi beaucoup de suspense, j’ai eu l’impression qu’il allait se faire agresser mais finalement j’ai été très surpris quand j’ai appris que c’était une femme qui l’observait depuis le début. Je suis donc très curieux de savoir ce qu’elle va lui demander, lorsqu’elle raconte sa terrible aventure je suis choqué, je me demande comment des hommes on put lui faire cela. Je m’interroge aussi sur ce qu’elle veut demander à Piracci. Quand elle lui avoue qu’elle veut se venger je suis de tous cœur avec elle, j’admire son courage et sa détermination et j’espère que Piracci lui donnera une arme pour venger son bébé.

Chapitre 2 : Tant que nous serons deux

Lors de ce second chapitre on rencontre Soleiman et son frère, on s’attache très vite à eux notamment grâce à l’utilisation de la 1ere personne du singulier. On comprend leur attachement à leur village et on se met à leur place, on est presque aussi triste qu’eux de quitter leur pays natal, on comprend qu’ils vont, comme la femme, tenté leur chance pour rejoindre l’Europe, on voit aussi que ce sont des frères qu’ils sont prêts à tout tant qu’ils sont ensembles.

Représentation personnelle de l’Eldorado

L’Eldorado

Pays chimérique où l'on a tout en abondance, où la vie est facile.

Ma représentation

Personnellement je pense que mon Eldorado serait un monde où tout est disponible mais contrairement à ce qu’on pourrait penser je ne voudrais pas que tout soit « gratuit ». Pour moi pour qu’une chose est de la valeur, il faut faire des efforts, des sacrifices, des investissements, prendre des risques pour l’obtenir, cela permet d’être fier et c’est pour cela que notre société actuelle n’est pas si mauvaise cependant pour moi il faudrait que certaines choses soient plus accessibles, et que tout le monde part sur un pied d’égalité. Cependant quand il s’agit de « bien commun », comme sauver la planète, arrêter les déchets nucléaires, cela ne devrait pas être gratuit. Tout comme l’eau et toutes les ressources nécessaires à la vie seraient disponible en abondance et partout dans le monde. La médecine devrait aussi être gratuite pour pouvoir sauver un maximum de gens, sans exclure les plus pauvres. Cela est déjà effectué en France grâce à la sécurité social mais ce n’est pas pareil partout dans le monde. Pour moi L’eldorado serait aussi un monde sans racisme de toutes sortes, où l’on peut rire de tous sans qu’il y ait des conséquences. Pour conclure je dirais que mon Eldorado est un monde idéal qui repose sur la société dans laquelle on vit mais qui respecterait tous ses principes, liberté, égalité, fraternité.

20 minutes

La tragédie des migrants qui perdent la vie en mer en tentant de rejoindre l’Europe se poursuit. Ce samedi, les corps de 16 personnes ont été repêchés au large des côtes marocaines, dans le bras de mer qui les sépare de l’Espagne. Parmi les victimes qui se trouvent à la morgue de Nador, 15 sont originaires d’Afrique subsaharienne et une autre du Maroc.

Cet article est en lien direct avec l’histoire du Vittoria si la frégate du commandant Piracci ne les auraient pas retrouvés à temps

 « Les migrants étaient auparavant plus nombreux à tenter d’escalader la haute barrière de Melilla », explique Omar Naji, un responsable de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH). Mais avec le « renforcement du dispositif de contrôle de cette barrière, la seule possibilité pour les migrants est de passer par la mer ». Les différentes associations locales dénoncent par ailleurs les mafias qui profitent de la détresse des personnes pour leur soutirer de l’argent et tenter de les faire passer en Europe. 

Cet article appuie la dénonciation de Laurent Gaudé sur les personnes qui se font de l’argent sur le dos des migrants.

https://www.20minutes.fr/monde/2215067-20180205-drame-migrants-corps-seize-personnes-repechees-entre-maroc-espagne

Chapitre 3 : Tempêtes

La discussion entre le commandant Piracci et son ami Angelo nous entraine, ils parlent de la femme du Vittoria, on se demande donc si elle a réussi ou ratée, si elle va aller jusqu’au bout, si elle a survécu. Le second du capitaine vient le chercher pour lui demander de venir, on s’interroge sur la raison de se venue.

Dans la deuxième partie de ce chapitre, il y a beaucoup d’action, on vit la recherche des barques par le commandant, qui n’en retrouve qu’une sur trois, cependant on comprend que le commandant aime la partie de son métier ou il sauve des hommes et non celle où il brise les rêves des hommes qu’il a sauvé juste avant. La confrontation avec le migrant qui lui demande de l’aide pour ne pas devoir refaire encore ce voyage nous montre que Piracci s’interroge sur lui et d’ailleurs il regrettera d’avoir mis trop de temps à réfléchir on ressent la culpabilité du commandant et la déception du migrant.

Chapitre 4 : Blessure de frontière

Au début de ce chapitre on ressent la joie de Soleiman qui a réussi, sans aucun mal à passer la frontière avec son frère mais cette euphorie est rapidement brisée par son frère qui lui annonce qu’il ne l’accompagnera pas et sa mort prochaine, tout comme Soleiman on est en état de choc. On se demande pourquoi Jamal ne lui avait pas dit avant, leur séparation nous brise le cœur.

Chapitre 5 : Le cimetière de Lampedusa

Salvator Piracci commence à réfléchir au but de sa vie, on comprend que c’est à cause ou grâce à la femme du Vittoria et à la demande de ce migrant à laquelle il regrette d’avoir pris trop de temps pour réfléchir. On comprend donc pourquoi il devient violant avec cet homme et on est pleinement du côté du commandant. L’homme du cimetière explique à ce moment ce que recherche les migrant en Europe : Leur Eldorado, d’où le titre du livre.

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