Devoir de philosophie

             Dégagez l’idée principale du texte et la différente argumentation

Le problème posé par ce texte c’est la moralité chez l’humanité : est-ce donnée naturellement, ou une acquis de la culture 

La réponse de l’auteur est à la fois simple et difficile. La moralité apparais seulement avec le développement culturel de l’humanité mais aussi la qualité morale ne se ramène pas au devoir de l’être humain, vis-à vis de lui-même, ou des autres.

La force morale avec laquelle l'être humain tend au bien, s'applique à suivre la règle, la loi morale  le devoir et la loi

1. La moralité est un caractère de la raison de la sensibilité

1. Cette phrase d’écrit la lutte que mène l’homme entre sa raison qui le pousse à tout prix à avoir une satisfaction de désir

1. Inspiré ici par ROUSSEAU, KANT désigne le déséquilibre par l’abandon de ses critères et repères naturels, remplacé par la société et les relations humaines. Le progrès que l’homme pourrais faire serais de ne pas retourner à l’état sauvage, mais d’instaurais le règne de la raison

1. Innocent dans le texte, ne signifie pas non coupable d’une faute qui à été commise, mais non être jugé honnêtement ou corrompu parce que il n’ya pas de mis en œuvre sans raison pratique

        Etre morale est ce contrarier ou suivre sa nature ?

Etre morale, ce serais de s’opposer à tout désirs sensibles qui serais une faute ce ne sont pas les désirs naturels qui sont mauvais, mais leur interférence aveugle et arbitraire avec des fins et des projets humains qui devraient être menés à bien, nous pouvons soutenir, alors que la moralité consiste à laisser s’exprimer sa nature individuelle. Ce que c’est vrais mais il faut ajouter 2 conditions

-L’individu doit connaitre et découvrir quelle est sa propre nature individuelle, ce qui peut amener à une longue quête et difficile de soit même

-Le simple fait d’exprimer sa propre nature est nécessaire mais insuffisante de l’action morale encore faut-il que cette expression soit en accord avec les contraintes énoncer par KANT à savoir le respect mutuelle de l’humanité en moi-même et en vers les autres

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