Des origines du surréalisme à sa mort
Commentaire d'oeuvre : Des origines du surréalisme à sa mort. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zemunf • 6 Juin 2017 • Commentaire d'oeuvre • 1 233 Mots (5 Pages) • 743 Vues
Des origines du surréalisme à sa mort.
Objectif : Avoir une vision d’ensemble du surréalisme.
1ère axe : Les débuts prometteurs de l’amélioration débute.
Transition : Ainsi l’entrée de Rastignac dans le monde se présente-t-elle comme une victoire inaugurant une carrière prometteuse. Mais, simultanément, le narrateur démystifie ce conte de fées en nous révélant les règles impitoyable de cet univers séduisant.
2ème texte : Le tableau critique du Faubourg Saint-Germain.
En quoi ce poème exprime-t-il le travail du deuil de Victor Hugo ?
- La souffrance liée à la mort d’un être cher
- La mort comme manque : la gradation dans la douleur.
Au 19ème siècle Victor Hugo publie un recueil de poésie les Contemplations. Dans l’un des recueils (Pauca Meae) nous étudierons le poème n°4.
Pauca Meae est un livre qui contient 18 poèmes nous étudierons le poème N°4 trois ans après ce poème nous illustres les 3 années après la mort de sa fille, malheureusement il y pense toujours. Il ne veut pas sortir faire la fête par peur que sa fille (qui est morte) pense qu’il l’a oublié, dans ce poème il « accuse » dieu.
Lors de ces vers Victor Hugo demande pourquoi dieu ne lui a pas laissé son enfant dans le même poème il parle de sa mère décédé.
Durant tout le poème il nous montre la difficulté du deuil et la difficulté d’en sortir.
Le 19ème siècle donne naissance au romantisme mouvement littéraire et artistique qui prône l’expression
Victor Hugo romancier, dramaturge et poète et l’un de ses représentants. Présentation des recueils et de l’extrait.
Lorsque qu’il publie les contemplations en 1856, l’auteur explique dans sa préface que 25 années sont dans ses 2 volumes. Se recueils autobiographique a permis à l’auteur de relater les évènements les plus marquant de sa vie. Une de ses sections Pauca Meae, signifiant quelque vers dédié à ma fille constitue une véritable charnière dans l’œuvre.
Hugo y exprime toute la souffrance enduré suite à la mort de sa fille Léopoldine morte noyé avec son mari.
Au 4ème poème l’auteur relate sont long cheminement sont acheminement vers l’acceptation du deuil il est encore dans une face de révolte face à cette mort inacceptable.
Problématique : Nous verrons alors comment ce poème exprime le travail du deuil du poète.
Comment les rêves racontés dans ce sont-ils à la fois absurdes et poétiques ?
1/ La caractère incohérent des rêves
2/ L’état d’esprit du rêve
Le surréalisme est un courant qui voit le jour au début du XXe siècle, un grand poète nommé Desnos vient au monde lui aussi au début de ce siècle. Corps et biens publié en 1930. C’est d’ailleurs dans ce chef-d’œuvre que j’ai pu puiser le poème sujet à mon analyse.
Ce texte a été écrit au 20ème siècle en 1930. Depuis l’enfance Robert Desnos note ses rêves. Il participe à des séances de sommeil hypnotique avec des écrivains surréalistes dans lequel il révèle d’incroyable capacité et deviendra par la suite l’un des plus grands poètes surréalistes de son siècle.
- La mort indicible et effrayante
- Emploie de la 3ème personne du singulier.
- Périphrase : « vote cher espérance »
- L’expérience de deuil est-elle innommable : périphrase.
- Emplois d’objectifs de haut degré
B) l’expression de la souffrance du poète.
« Je » présent tout au long du poème : registre lyrique ou le poète exprime ses sentiments.
- Champs lexical de la souffrance : « souffrance » « briser » « souffrir » « malheurs »
- Points d’exclamations : Les derniers vers
- Registre pathétique : Le lecteur et l’auditoire sont pris à partit afin de témoigner de la souffrance de l’auteur (apostrophes généralisantes : « vous tous », « vous », « pères, mères » ayant perdue un engin => communion dans la douleur
- Interrogations accentuent => idée universel de la douleur
- Temps du passé (imparfait) qui montre qu’un fait douloureux qui s’est déroulé dans le passé a encore des effets dans le présent.
- Phrase exclamatives
PB : La souffrance liée à la mort d’un être cher
La mort fait l’objet ici d’une attention particulière dans le texte, Victor Hugo exprime sa souffrance dans les premiers jours après la nouvelle qu’il l’a apprise à propos de la mort de sa fille. Cette poésie rentre dans le registre du pathétique il nous exprime son chagrin, sa misère, sa désolation dans ce texte.
Oh ! Je fus comme fou dans le premier moment ». Etat de folie hallucinatoire où la douleur atroce le rend fou ; il s’obstine à nier l’évidence, croit entendre sa fille, la voir (vers 9, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20). Les 5 premiers vers expriment l’abattement, la tristesse, une quête pathétique de compassion. Le vers 6 laisse percer tout d’un coup une pulsion violente de mort ou d’automutilation. Les vers suivants, reliés séparés des précédents par un « puis » (v.7) expriment au contraire une volonté de réagir, une révolte, (v.10-11). : Dieu a-t-il permis cette mort et dans ce cas il est un Dieu mauvais. Mais cette réflexion tourne court, ou plus exactement, elle se continue sur un autre registre, celui de la vision Hallucination introduite par « Il me semblait » (vers 12) Enfin, après un saut de ligne, le passage du discours indirect au discours direct, de? Imparfait au présent installe progressivement le locuteur dans la folie hallucinatoire. Il utilise le champ lexical de la souffrance : le verbe souffrir (2 fois au vers 4) ; le verbe éprouver (2 fois au vers 5).
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